Aujourd’hui, la Commission économique et financière (Deuxième Commission) a suspendu momentanément son débat sur le développement durable, qu’elle avait entamé hier, pour examiner la question connexe de l’urbanisation rapide.
Le Commissaire général de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA), M. Filippo Grandi, a de nouveau tiré la sonnette d’alarme aujourd’hui devant la Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation (Quatrième Commission), face à l’extrême précarité de la situation financière de l’Office. Ce dernier, 60 ans après sa création, mène une réforme pour accroître l’efficacité de ses services aux réfugiés.
La Troisième Commission, qui examinait aujourd’hui des questions relatives à l’élimination du racisme, de la discrimination raciale, de la xénophobie et de l’intolérance qui y est associée, et au droit des peuples à l’autodétermination, s’est en particulier intéressée à un avant-projet de la Convention sur les sociétés militaires et de sécurité privées (SMSP).
Les traités dans le temps, les ressources naturelles partagées, la clause de la nation la plus favorisée, ainsi que l’obligation d’extrader ou de poursuivre, sont les quatre derniers thèmes sur lesquels se sont penchées aujourd’hui les délégations de la Sixième Commission (chargée des questions juridiques), achevant ainsi le débat sur les travaux* de la soixante-deuxième session de la Commission du droit international (CDI), qu’elles avaient entamé le 25 octobre.
Entamant son plus long débat qu’elle a eu au cours de cette session de l’Assemblée générale, la Commission économique et financière (Deuxième Commission) a examiné aujourd’hui la question du développement durable, autour de laquelle semblent se cristalliser les préoccupations et les espoirs de beaucoup d’États Membres en matière économique et sociale.
Le Conseil de sécurité, qui est avec l’Assemblée générale un des deux « organes parents » de la Commission de consolidation de la paix, a adopté cet après-midi une résolution par laquelle il « accueille avec satisfaction le rapport* des cofacilitateurs intitulé Examen du dispositif de consolidation de la paix de l’Organisation des Nations Unies » et décide qu’il sera procédé à un nouvel examen général cinq ans après l’adoption de la résolution.
« L’impossibilité pour un État d’exécuter un arrêt de la Cour internationale de Justice (CIJ), pour des motifs politico-juridiques, peut avoir des incidences sur l’état de droit au niveau international », a souligné, ce matin, le Président de la CIJ, M. Hisashi Owada, qui intervenait, selon la pratique établie ces dernières années, devant les délégations de la Sixième Commission (chargée des questions juridiques).
La Première Commission, chargée des questions du désarmement et de la sécurité internationale, a achevé, cet après-midi, la troisième et dernière phase de ses travaux en adoptant 17 projets de résolution et de décisions relatifs, entre autres, aux armes de destruction massive, aux mécanismes du désarmement et aux armes classiques.
La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires a consacré, ce matin, l’essentiel de sa séance à la fin de l’examen de la gestion des ressources humaines au sein de l’ONU, avant d’aborder celui des conditions de service des juges de la Cour internationale de Justice (CIJ), du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) et du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR).
Mue par un sentiment d’urgence face aux tâches qui attendent la Commission de consolidation de la paix (CCP), l’Assemblée générale a adopté aujourd’hui une résolution pour renforcer l’efficacité de la Commission. Le Conseil de sécurité qui, avec l’Assemblée générale, est un des deux « organes parents » de la Commission a adopté cet après-midi une résolution similaire.