L’Assemblée générale des Nations Unies a décidé cet après-midi de convoquer la deuxième Conférence des Nations Unies sur les pays en développement sans littoral (PDSL) à Vienne, en Autriche, du 3 au 5 novembre 2014.
À la veille de pourparlers à Genève entre les chefs de la diplomatie de la Fédération de Russie, de l’Ukraine, de l’Union européenne et des États-Unis, le Sous-Secrétaire général aux droits de l’homme, M. Ivan Šimonović, a présenté, cet après-midi devant le Conseil de sécurité, un rapport sur la situation des droits de l’homme dans le pays, en appelant toutes les parties à « entamer un dialogue national inclusif, durable et significatif ».
Vingt ans après le génocide perpétré au Rwanda, le Conseil de sécurité, soucieux de renforcer la coopération internationale pour faciliter la prévention et la répression promptes de ce crime, a demandé aux États Membres, au cours d’une séance publique commémorative ce matin, de s’engager à nouveau à prévenir et à combattre le génocide, ainsi que les autres crimes graves définis par le droit international.
La mobilisation des ressources publiques et privées en faveur du développement durable a été au centre de la deuxième et dernière journée de la Réunion spéciale de haut niveau du Conseil économique et social (ECOSOC) des Nations Unies avec les organismes issus des accords de Bretton Woods -Banque mondiale et Fonds monétaire international (FMI)-, l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED).
C’est dans un contexte marqué par des signes de reprise économique encourageants au niveau mondial que le Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC) a ouvert ce matin sa Réunion spéciale de haut niveau avec les organismes issus des accords de Bretton Woods -Banque mondiale et Fonds monétaire international (FMI)- l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED).
À la demande du Secrétaire général de l’ONU, l’Assemblée générale a inscrit, ce matin, à son ordre du jour, la question du financement de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA).
À quelques heures de l’ultimatum qu’a donné le Président ukrainien aux séparatistes pro-russes pour qu’ils déposent les armes et cessent l’occupation des bâtiments publics, le représentant de la Fédération a obtenu du Conseil de sécurité la tenue, ce soir à 8 heures, d’un débat public pour « prévenir les lourdes conséquences des « actes irréfléchis et insensés » des autorités ukrainiennes contre les populations russophones.
Après des négociations-marathon, c’est à 6 heures du matin, ce samedi 12 avril, que les membres de la Commission de la population et du développement ont finalement adopté la résolution sur l’état de la mise en œuvre du Programme d’action du Caire de 1994*, mettant ainsi fin à une session entamée le 7 avril dernier.
Le travail « exceptionnel » de la Division de la population des Nations Unies n’a pas empêché le représentant du Ghana de demander une définition précise des concepts de « dividende démographique » ou d’« éducation sexuelle complète » même si des pays comme la Finlande et la Belgique n’ont pas vu l’urgence. La Commission de la population et du développement poursuivait, aujourd’hui, ses travaux qu’elle devrait conclure demain avec l’adoption de ses résolutions.
Constatant que la situation en République centrafricaine (RCA) constitue une menace pour la paix et la sécurité internationales dans la région, le Conseil de sécurité a décidé ce matin de créer la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA), qui devient ainsi la neuvième opération de maintien de la paix de l’ONU présente en Afrique.