La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a examiné aujourd’hui l’application du principe de responsabilité au Secrétariat de l’ONU et les modifications proposées par le Secrétaire général pour le Statut et le Règlement du personnel de l’Organisation.
En cours au Siège de l'ONU
Administratif et budgétaire
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a examiné aujourd’hui les recommandations du Corps commun d’inspection (CCI) pour corriger les faiblesses décelées dans les comités d’audit et de contrôle des entités des Nations Unies, mais aussi les cadres, stratégies, politiques et pratiques en matière d’informatique en nuage.
Ce matin, à la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires, la Chine s’est dite gravement préoccupée par le scénario de plus en plus « sombre » de la composition démographique du Secrétariat de l’ONU qui comptait, au 31 décembre 2018, 37 505 fonctionnaires.
Ce matin, à la reprise de session de la Cinquième Commission, les États-Unis et l’Union européenne ont critiqué la décision que l’Assemblée générale a prise, le 14 janvier dernier, d’augmenter de 16 à 21 le nombre des membres du Comité consultatif pour les questions administratives et budgétaires (CCQAB).
La déclaration suivante a été communiquée, aujourd’hui, par le Porte-parole de M. António Guterres, Secrétaire général de l’ONU:
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a examiné, cet après-midi, les propositions du Secrétaire général visant à modifier le Règlement financier de l’Organisation, dans le cadre de la réforme des pratiques de gestion.
Après avoir recommandé à l’Assemblée générale un budget de 6,6 milliards de dollars pour 13 missions de l’ONU sur le terrain, la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a également soumis à l’approbation de cette dernière des projets de texte « historiques » sur la réforme du pilier « paix et sécurité » et de la gestion de l’ONU.
Le lien entre la réforme de la gestion du Secrétariat de l’ONU et des fonctionnaires véritablement comptables de leurs actes est incontournable, ont déclaré les États-Unis, en se félicitant de la version actualisée du « dispositif d’application du principe de responsabilité au Secrétariat » soumise aujourd’hui à l’examen de la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires.
Nombreuses ont été les délégations, ce matin, à la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires, à applaudir les propositions du Secrétaire général pour réformer la gestion de l’ONU et à plébisciter la stricte séparation entre les politiques de gestion, d’une part, et l’appui opérationnel au terrain, d’autre part.
La logique nous échappe. C’est en substance ce qu’ont dit aujourd’hui le Groupe des 77 et la Chine, les États africains et la République-Unie de Tanzanie alors que la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires examinait le budget révisé de 184 millions de dollars que le Secrétaire général de l’ONU* demande pour les Divisions de La Haye et d’Arusha du Mécanisme international appelé à exercer les fonctions résiduelles des Tribunaux pénaux internationaux pour l’ex-Yougoslavie et pour le Rwanda.