En cours au Siège de l'ONU

Syrie


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Zambie: L’équipe de pays des Nations Unies, dirigée par Mme Beatrice Mutali, Coordonnatrice résidente, appuie la réponse du Gouvernement à l’irruption du choléra et aux graves inondations qui ont provoqué le départ de plus de 170 000 hommes, femmes et enfants de 22 districts.  Le problème tient à l’accès aux services sociaux de base, comme les écoles et les hôpitaux.  La situation, qui a aussi un impact sur l’agriculture et le bétail, a causé la destruction d’infrastructures essentielles telles que les routes, les ponts, les écoles, les cliniques et les habitations. 

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Haïti: Le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) indique que la violence armée contre les écoles du pays, dont les tirs d’armes à feu, les saccages, les pillages et les enlèvements, a été multipliée par 9, au cours de l’année dernière. Pendant les quatre premiers mois de l’année académique, du mois d’octobre au mois de février, 72 écoles auraient été ciblées, contre huit pendant la même période, l’année précédente.

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En Iran, l’équipe de pays des Nations Unies a répondu rapidement à la demande des autorités nationales, s’agissant des efforts de secours et d’aide humanitaire à Khoy, après le tremblement de terre du 28 janvier dernier. L’équipe des Nations Unies, dirigée par le Coordonnateur résident, M. Stefan Priesner, a monté une mission d’évaluation conjointe dans les zones voisines de l’épicentre dans la province orientale de l’Azerbaïdjan en Iran, le 6 février dernier. 

CS/15194

La réunion mensuelle du Conseil de sécurité sur le dossier des armes chimiques syriennes a permis à ses membres, ce matin, d’examiner enfin les conclusions de l’Équipe d’enquête et d’identification de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC), qui a rendu le 27 janvier son troisième rapport sur l’attaque à l’arme chimique perpétrée à Douma, en République arabe syrienne, le 7 avril 2018.

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Tremblement de terre en Türkiye et en Syrie: le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) indique que les populations affectées en Syrie sont des familles qui avaient déjà dû fuir le long conflit et vivre dans des tentes, des abris fragiles et des immeubles partiellement détruits. En Türkiye, ceux qui ont été frappés par la catastrophe sont les milliers de réfugiés de Syrie et les communautés qui les ont généreusement accueillis depuis près de 12 ans.  Les réfugiés syriens compte pour plus de 1,7 million des 15 millions de personnes qui vivent dans les 10 provinces touchées par le tremblement de terre. 

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Türkiye/Syrie: Les partenaires humanitaires indiquent que c’est le tremblement de terre le plus puissant que la Türkiye ait connu depuis 1939 et qu’au moins 78 répliques ont été signalées, après une deuxième secousse de magnitude 7,5. Le tremblement de terre a lourdement touché le nord de la Syrie où 4,1 millions de personnes, pour la plupart des femmes et des enfants, dépendaient déjà de l’assistance humanitaire.  Quelque 224 immeubles ont été totalement détruits et au moins 325 partiellement endommagés dans 17 sous-districts, selon les premières informations reçues des autorités locales.

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Éthiopie: Dans les parties australe et orientale, la sécheresse historique qui sévit plus largement dans la Corne de l’Afrique se poursuit.  L’ONU et ses partenaires ont l’intention d’apporter à 17 millions de personnes de la nourriture, de l’eau, des soins de santé et un soutien à l’agriculture, entre autres. Les agences humanitaires notent que dans certaines parties des régions d’Oromia et de Somali, l’on signale plus de 1 000 cas de choléra à ce jour.  Près d’un million de gens sont considérés comme personnes à haut risque.  Une campagne de vaccination orale a été lancée et 33% de la population cible en a déjà bénéficié. 

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République démocratique du Congo: Les combats se sont intensifiés ces derniers jours dans le pays.  L’ONU condamne la nouvelle offensive militaire du groupe rebelle M23 et réitère son appel à ce dernier pour qu’il cesse toutes les hostilités et se retire des zones occupées, conformément aux décisions prises au mini-sommet de Luanda, il y a quelques semaines.  Les agences humanitaires indiquent que, selon les premières informations des partenaires, quelque 90 000 personnes ont fui les combats entre les Forces congolaises et le M23 dans et autour de Kitshanga, au Nord-Kivu.