LISBONNE, 28 juin -- Les deux coprésidentes de la troisième table ronde de la Conférence sur les océans, Mme TANYA LIBERSEK, Ministre de l’environnement et de l’eau de l’Australie, et Mme XIMENA FUENTES, Vice-Ministre des affaires étrangères du Chili, ont campé les enjeux de ce dialogue interactif intitulé « gérer, protéger, conserver et restaurer les écosystèmes marins et côtiers », en soulignant, toutes deux, l’importance de renforcer la coopération internationale pour protéger les écosystèmes marins et côtiers.
En cours au Siège de l'ONU
Questions d’environnement et de développement durable
LISBONNE, 28 juin -- Au deuxième jour de la Conférence des Nations Unies sur les océans qui se tient à Lisbonne, près de 40 chefs de gouvernement et ministres se sont succédé pour tirer la sonnette d’alarme. Parce que si « les océans sans humains sont des océans vivants, les humains sans océans sont des humains morts », a résumé la formule de la Thaïlande, cependant que les Bahamas ont mis en garde contre « un océan en colère de nos jours ».
LISBONNE, 27 juin -- Plantant le décor de ce premier dialogue interactif de la Conférence des Nations Unies sur les océans, avec pour thème de remédier à la pollution marine, la Directrice de la Division des écosystèmes du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), Mme SUSAN GARDNER, a commencé par rappeler que l’océan nous relie tous et que s’il est en difficulté, « nous sommes tous en difficulté ». La crise qu’il traverse est exacerbée par une triple crise planétaire –changements climatiques, perte de biodiversité et pollution– qui rend nécessaire d’agir maintenant.
La Mission des Nations Unies au Mali prend des mesures pour améliorer la sécurité dans les deux principales localités qui viennent de subir les attaques de groupes armés terroristes.
LISBONNE, 27 juin--La Conférence des Nations Unies sur les océans s’est ouverte ce matin à Lisbonne, au Portugal, par des appels pressants à préserver les océans, ressource aussi vitale que négligée. Pollution plastique, destruction des barrières de corail, pêche intensive, conséquences des changements climatiques, piraterie, les intervenants n’ont pas fait mystère de l’acuité de « l’urgence océanique » et de l’effort financier qui sera nécessaire pour y remédier. Le Secrétaire général de l’ONU, le Président du Kenya ou bien encore le Président des Palaos ont en effet rappelé que l’objectif de développement durable 14 sur la conservation et l’exploitation durable des océans est le moins financé de tous les objectifs.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a publié aujourd’hui un rapport sur la santé mentale dans le monde, qui indique qu’en 2019, près d’un milliard de personnes –dont 14% des adolescents dans le monde– étaient atteintes d’un trouble mental. Les suicides représentaient plus d’un décès sur 100 et 58% d’entre eux survenaient avant l’âge de 50 ans.
Liban: La Coordonnatrice humanitaire pour le Liban, Mme Najat Rochdi, a lancé aujourd’hui le Plan de réponse d’urgence révisé qui vise à collecter la somme de 546 millions de dollars pour aider un million de personnes dans les zones où les besoins sont les plus importants. D’abord prévu pour la période allant d’août 2021 à juillet 2022, le Plan a été étendu au mois de décembre, compte tenu des besoins humanitaires croissants des Libanais les plus vulnérables, des migrants et des réfugiés palestiniens. Un peu plus de la moitié des fonds demandés ont été reçus, ce qui a permis d’aider plus de 600 000 personnes.
On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la Journée mondiale de la lutte contre la désertification et la sécheresse, célébrée le 17 juin:
Les agences humanitaires indiquent que les récentes attaques contre la localité de Seytenga, dans la région du Sahel du Burkina Faso, ont poussé près de 3 500 personnes à fuir leur foyer, et que ce nombre ne cesse d’augmenter.
Le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) a publié, aujourd’hui, de nouvelles données qui montrent que si le nombre des réfugiés et des migrants qui traversent la Méditerranée pour aller en Europe est inférieur à celui de 2015, les traversées deviennent néanmoins de plus en plus meurtrières.