En cours au Siège de l'ONU

Le monde n’a pas besoin d’un gouvernement mondial mais bien d’une gouvernance mondiale améliorée maintenant que la COVID-19 a mis à nu ses fragilités, souligne M. Guterres

SG/SM/20264

On trouvera ci-après l’allocution prononcée par le Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à la cérémonie de l’Assemblée générale marquant le soixante-quinzième anniversaire des Nations Unies, le 21 septembre:

L’ONU, « née d’immenses souffrances », fête son soixante-quinzième anniversaire à l’heure où le monde, en proie à une pandémie, a plus que jamais besoin d’elle

AG/12267

L’ambiance était solennelle, mais la salle semblait vide.   Dans l’enceinte de l’Assemblée générale, face à un auditoire singulièrement clairsemé, la cérémonie tant attendue, dépourvue du faste onusien des grands jours, contrastait avec la portée historique monumentale de l’évènement:  la célébration du soixante-quinzième anniversaire des Nations Unies, marquée par l’adoption d’une déclaration politique qui accorde une large place à la revitalisation du multilatéralisme. 

L’Assemblée générale adopte les 183 questions de son ordre du jour, avec un vote pour inclure celle de « la responsabilité de protéger »

AG/12266

L’Assemblée générale a pris note, ce matin, du premier rapport* de son Bureau sur l’organisation de sa soixante-quinzième session, de l’adoption de l’ordre du jour et la répartition des 183 questions dont les dates de clôture de la session de l’Assemblée et de ses six commissions

Syrie: les derniers travaux de la Commission constitutionnelle suscitent de nombreuses insatisfactions au Conseil de sécurité

SC/14309

Lors de la réunion mensuelle du Conseil de sécurité consacrée au processus politique en Syrie, tenue une nouvelle voie sous forme de visioconférence pour cause de COVID-19, l’Envoyé spécial pour la Syrie a voulu, ce matin, voir dans la tenue, fin août, de la troisième session de la Commission constitutionnelle syrienne -après neuf mois d’interruption- une « lueur d’espoir ». 

Le Conseil de sécurité proroge d’un an le mandat de l’Équipe chargée de recueillir les preuves des crimes les plus graves commis par Daech en Iraq

SC/14311

Répondant favorablement à une demande du Gouvernement iraquien*, le Conseil de sécurité a décidé, ce matin, à l’unanimité de ses 15 membres, de proroger jusqu’au 18 septembre 2021 le mandat du Conseiller spécial et de l’Équipe d’enquêteurs chargés de recueillir des éléments de preuve concernant des actes susceptibles de constituer des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité ou des crimes de génocide commis par l’EIIL (Daech) sur le territoire iraquien, conformément à sa résolution 2379 (2017).

Conseil de sécurité: la pandémie aggrave l’insécurité alimentaire dans les zones de conflit, « comme toujours » aux dépens des plus vulnérables

SC/14308

À l’occasion d’un débat public, mais toujours réalisé en visioconférence pour cause de COVID-19, consacré à la mise en œuvre de la résolution 2417 (2018) sur la relation entre les conflits armés et la violence et l’insécurité alimentaire, plusieurs hauts responsables des Nations Unies sont venus, cet après-midi, tirer la sonnette d’alarme devant le Conseil de sécurité face à l’aggravation de la situation alimentaire dans les zones de conflit, du fait de la pandémie. 

Le Conseil de sécurité examine les conséquences humanitaires de la dégradation de l’environnement, source croissante de conflits

SC/14307

Le Conseil de sécurité s’est penché, ce matin, sur les effets humanitaires de la dégradation de l’environnement dans un monde où, a dénombré la France, on compte quelque 2 500 conflits liés aux combustibles fossiles, à l’eau, à la nourriture et aux terres.