En cours au Siège de l'ONU

Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté: le Secrétaire général appelle à investir dans des solutions axées sur l’être humain

SG/SM/21533

On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté, célébrée le 17 octobre:

Les délégations de la Deuxième Commission parient sur un développement urbain vert, ouvert et durable

AG/EF/3573

La Deuxième Commission (questions économiques et financières) s’est penchée, ce vendredi, sur le développement urbain ainsi que sur les activités opérationnelles de développement du système des Nations Unies.  Comment canaliser l’urbanisme croissant, le rendre durable et compatible aux défis actuels sont parmi les questions qui ont été débattues en examinant la situation des villes qui, selon Chris Williams, Directeur du Bureau de New York d’ONU-Habitat, sont la clef de la réduction des crises et de la reprise.  Qu’il s’agisse d’urgences sanitaires, de la crise climatique, de conflits ou de catastrophes, elles sont le lieu où démarrent les crises telles que la pandémie de COVID-19, et là où elles se résolvent.  La manière dont les villes réagissent, se stabilisent et se régénèrent contribue au redressement national, a exposé l’expert, qui a recommandé de combattre en priorité « le sans-abrisme et le logement inadéquat ».

La manipulation de l’information, les mesures coercitives dans le cyberespace et les représailles pour la coopération avec l’ONU mobilisent l’attention de la Troisième Commission

AG/SHC/4352

​​​​​​​La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a dialogué aujourd’hui avec pas moins de huit experts et titulaires de mandat, l’occasion pour les délégations de faire le point sur plusieurs dimensions des droits de la personne, dont le problème de la torture, la manipulation de l’information en temps de guerre, l’application de mesures coercitives unilatérales dans le cyberespace, et l’indépendance des juges et des avocats.

La Cinquième Commission examine l’enveloppe de 767 millions de dollars pour 38 missions politiques spéciales en 2023, sans les résultats escomptés pour certaines d’entre elles

AG/AB/4395

« 767 075 300 dollars », c’est l’enveloppe exacte des ressources demandées par le Secrétaire général de l’ONU pour financer en 2023 les 38 missions politiques spéciales qu’a examinée ce matin la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires.  Si le Comité consultatif pour les questions administratives et budgétaires (CCQAB) a constaté une hausse de 5,2% par rapport à 2022, les délégations, comme celle du Brésil, ont surtout vu une part du budget ordinaire multipliée par six en deux décennies, soit peut-être 23% l’année prochaine.  L’enveloppe de ces missions ne cesse d’augmenter, a noté la Chine, déplorant que ces sommes importantes n’apportent pas les résultats escomptés, comme en Haïti.

Deuxième Commission: les pays vulnérables demandent des partenariats solides pour les aider à sortir de l’ornière

AG/EF/3572

Les problèmes de développement des pays les moins avancés (PMA) et des pays en développement sans littoral (PDSL) sont une préoccupation majeure qui ne peut être ignorée par la communauté internationale, a lancé l’Éthiopie lors du débat de la Deuxième Commission (questions économiques et financières) consacré aux pays en situation particulière, cet après-midi.  Qu’il s’agisse de la pandémie, des conflits ou des urgences climatiques, les PMA sont intrinsèquement et structurellement désavantagés pour faire face aux multiples crises actuelles, et, ce sont eux qui en portent le poids le plus lourd, a abondé le groupe représentant ces pays.

Point de presse quotidien du Bureau du Porte-parole du Secrétaire général de l’ONU: 13 octobre 2022

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Secrétaire général/G20: En prévision du Sommet du G20 qui aura lieu le mois prochain à Bali, en Indonésie, le Secrétaire général a envoyé une lettre aux ministres des finances et chefs des banques centrales du G20. Il y dit que l’impact de la pandémie de COVID-19, la guerre en Ukraine et la crise climatique ravagent les économies dans le monde entier.  Il note que l’impact de ces chocs sur les pays en développement est en outre aggravé par un système mondial injuste qui dépend des analyses à court terme du rapport coût-bénéfice et qui privilégie les riches au détriment des pauvres.