Le Conseil de sécurité a, cet après-midi, prorogé jusqu’au 31 décembre 2009 le mandat du Bureau d’appui des Nations Unies pour la consolidation de la paix en Guinée-Bissau (BANUGBIS).
En prévoyant que le produit brut mondial chutera de 2,6% en 2009 -un fléchissement sans pareil depuis la Seconde Guerre mondiale-, et conscients que plus de 50 millions de personnes supplémentaires vivent désormais dans la misère, les États Membres ont adopté, cet après-midi, le Document final de la Conférence sur la crise financière et économique mondiale et son incidence sur le développement*.
Les États parties à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer, dite Convention de Montego Bay de 1982, ont examiné, ce matin, le rapport du Secrétaire général sur les océans et le droit de la mer, qui sera soumis à la soixante-quatrième session de l’Assemblée générale.
En présence du Président de l’Équateur, Rafael Correa, et d’une quarantaine de ministres, l’Assemblée générale a poursuivi aujourd’hui le débat général de la Conférence sur la crise financière et économique mondiale et son incidence sur le développement.
Experts et représentants d’États Membres ont débattu, ce matin, parallèlement à la séance plénière de la Conférence sur la crise financière et économique mondiale, des mesures coordonnées et concertées à prendre en vue d’atténuer l’incidence de la crise sur le développement.
La Cinquième Commission (chargée des questions administratives et budgétaires), au terme de plusieurs semaines d’intenses négociations, a recommandé à l’Assemblée générale d’approuver un montant de près de 7,8 milliards de dollars pour le financement des activités de maintien de la paix des Nations Unies pour l’exercice annuel allant du 1er juillet 2009 au 30 juin 2010.
La Réunion des États parties à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer a examiné, ce matin, le rapport* du commissaire aux comptes sur les états financiers au 31 décembre 2008 du Tribunal international du droit de la mer dont le budget biennal 2007/2008 a été arrêté à 17 millions 214 700 euros.
Au premier jour de la Conférence sur la crise financière et économique mondiale et son incidence sur le développement, les participants au débat général ont réaffirmé la nécessité d’apporter une réponse collective et coordonnée à ce que le Secrétaire général des Nations Unies, M. Ban Ki-moon, a qualifié de « crise la plus grave depuis la création de l’Organisation il y a 60 ans ».
Au premier jour de la Conférence sur la crise financière et économique mondiale et son incidence sur le développement, les participants au débat général ont réaffirmé la nécessité d’apporter une réponse collective et coordonnée à ce que le Secrétaire général des Nations Unies, M. Ban Ki-moon, a qualifié de « crise la plus grave depuis la création de l’Organisation il y a 60 ans ».