Troisième Commission


AG/SHC/4019
L’Experte indépendante sur les questions des droits de l’homme et de l’extrême pauvreté, Mme Maria Magdalena Sepúlveda, a expliqué, aujourd’hui, devant la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, que si les personnes pauvres étaient souvent décrites comme étant à l’origine de leur propre infortune, la pauvreté est le résultat de problèmes structurels.
AG/SHC/4017
« Une période remarquable de l’histoire ». Le Président de la soixante-sixième session de l’Assemblée générale, M. Nassir Abdulaziz Al-Nasser, a déclaré, aujourd’hui, devant la Troisième Commission que « des démocraties émergentes appellent à la liberté, à la dignité et à la justice sociale ».
AG/SHC/4016
« Il n’y a pas de raison de remettre à plus tard l’adhésion des Palestiniens à l’ONU », a déclaré M. Falk. Son rapport insiste sur la hausse de la violence des colons en Cisjordanie et sur la détention d’enfants palestiniens dans les territoires occupés. Il a dénoncé, une fois de plus, les effets du blocus israélien de Gaza.
AG/SHC/4015
Dressant le bilan d’une année marquée par d’importants mouvements populaires en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, la Haut-Commissaire aux droits de l’homme, Mme Navi Pillay, s’est félicitée, aujourd’hui, devant la Troisième Commission, des « avancées prometteuses » qui ont « réaffirmé la portée des droits de l’homme dans des régions où la répression et le déni de ces droits semblaient être immuables ».
AG/SHC/4014
La Commission chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles a également organisé un dialogue interactif avec le Président du Comité contre la torture, M. Claudio Grossman, et son homologue du Sous-Comité pour la prévention de la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, M. Malcolm Evans.
AG/SHC/4013
Le Rapporteur spécial sur les droits des peuples autochtones, M. James Anaya, a plaidé, aujourd’hui, devant la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, en faveur de l’instauration d’un climat d’entente et de confiance entre les différentes parties prenantes dans les litiges concernant les terres et les ressources naturelles des peuples autochtones.