Exactement 16 ans après l’adoption de la résolution 1373 (2001) du Conseil de sécurité qui avait demandé aux États d’agir de concert pour contrer la menace du terrorisme, le Secrétaire général adjoint nouvellement nommé pour diriger le Bureau de lutte contre le terrorisme, créé en juin 2017, a présenté aujourd’hui, au Conseil de sécurité, ses priorités pour son mandat.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
Si de fragiles progrès sur le terrain en Syrie, dont la fin du siège de Deïr el-Zor, semblent favorables à la relance du processus de paix, l’ONU et ses organisations partenaires continuent néanmoins de se heurter à des difficultés dans la livraison de l’aide humanitaire aux populations en détresse, ont constaté, cet après-midi, de hauts fonctionnaires des Nations Unies devant le Conseil de sécurité.
La Secrétaire générale de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) et le Président du Comité 1373 (2001) concernant la lutte antiterroriste ont souligné, ce matin, devant le Conseil de sécurité, la nécessité de renforcer la coopération internationale afin de mettre en œuvre la résolution pionnière 2309 (2016) sur la sécurité aérienne et faire face, selon l’expression du délégué du Sénégal, à la « menace sournoise » que posent les groupes terroristes pour les avions civils.
Le 1er août 2017, le Conseil de sécurité a décidé d’actualiser les listes d’articles, de matières, d’équipements, de biens et de technologies dont la fourniture, la vente ou le transfert à la République islamique d’Iran exige son approbation préalable, au cas par cas, en application du paragraphe 2 de l’annexe B de sa résolution 2231 (2015), comme suit :
Le Représentant spécial du Secrétaire général pour le Soudan du Sud, M. David Shearer, a souligné, ce matin, devant le Conseil de sécurité, la nécessité d’un « front commun » et « d’efforts unifiés » de la communauté internationale en faveur du processus de paix dans le pays, lequel est aujourd’hui au point mort. Un point de vue partagé par les États Membres, les États-Unis n’hésitant pas à parler de « dernière chance » de sauver ce processus.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de septembre, M. Tekeda Alemu (Éthiopie):
Le 22 septembre 2017, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) et 2253 (2015) concernant l’EIIL (Daech), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés a promulgué les modifications spécifiées par les biffures et les soulignements dans les entrées ci-dessous dans la Liste des individus et entités faisant l’objet de sanctions –gel des avoirs, interdiction de voyager et embargo sur les armes– conformément au paragraphe 1 de la résolution 2368 (2017) du Conseil de sécurité adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies.
Près de trois ans après la formation d’un Gouvernement d’unité nationale, l’Afghanistan continue de faire face à des défis sécuritaires et de développement considérables, sur fond de reconfiguration des alliances politiques à l’approche d’échéances électorales, a constaté, cet après-midi, le Représentant spécial du Secrétaire général.
Le Coordonnateur spécial des Nations Unies pour le processus de paix au Moyen-Orient, M. Nickolay Mladenov, a, ce matin, devant le Conseil de sécurité, estimé que la poursuite par Israël de ses activités de peuplement rendait la solution des deux États « de plus en plus inatteignable » et sapait la confiance des Palestiniens dans les efforts de paix internationaux.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de septembre, M. Tekeda Alemu (Éthiopie):