Le 8 octobre 2020, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) et 2253 (2015) concernant l’EIIL (Daech), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés a approuvé l’inscription de l’entrée ci‑dessous sur la Liste des individus et entités faisant l’objet de sanctions – gel des avoirs, interdiction de voyager et embargo sur les armes – conformément au paragraphe 1 de la résolution 2368 (2017) du Conseil de sécurité et adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies:
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité: Communiqués de presse
En République démocratique du Congo (RDC), les membres de la coalition Cap pour le changement et le Front commun pour le Congo, qui hier encore étaient politiquement opposés, doivent surmonter leurs différences et bâtir une confiance mutuelle dans un contexte où les situations politique et sécuritaire demeurent fragiles et menacent les acquis, a demandé cet après-midi la Représentante spéciale du Secrétaire général pour ce pays lors d’une réunion du Conseil de sécurité.
À la veille du premier anniversaire du départ des troupes de maintien de la paix d’Haïti et de son remplacement par le Bureau intégré des Nations Unies en Haïti (BINUH), la Représentante spéciale du Secrétaire général en Haïti, Mme Helen La Lime, a fait, ce matin devant le Conseil de sécurité, le point sur les 12 premiers mois de fonctionnement du Bureau.
La crise planétaire liée à la pandémie de COVID-19 met non seulement gravement à l’épreuve la coopération internationale, elle met aussi en évidence les « carences incontestables » du système multilatéral, a affirmé ce matin le Secrétaire général de l’ONU devant le Conseil de sécurité à l’occasion d’un débat au sommet organisé par la présidence nigérienne sur le thème « Maintien de la paix et de la sécurité internationales: gouvernance mondiale post-COVID-19 ».
On trouvera ci-après le discours du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, devant le Conseil de sécurité sur la gouvernance mondiale post-COVID-19
Lors de la réunion mensuelle du Conseil de sécurité consacrée au processus politique en Syrie, tenue une nouvelle voie sous forme de visioconférence pour cause de COVID-19, l’Envoyé spécial pour la Syrie a voulu, ce matin, voir dans la tenue, fin août, de la troisième session de la Commission constitutionnelle syrienne -après neuf mois d’interruption- une « lueur d’espoir ».
Répondant favorablement à une demande du Gouvernement iraquien*, le Conseil de sécurité a décidé, ce matin, à l’unanimité de ses 15 membres, de proroger jusqu’au 18 septembre 2021 le mandat du Conseiller spécial et de l’Équipe d’enquêteurs chargés de recueillir des éléments de preuve concernant des actes susceptibles de constituer des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité ou des crimes de génocide commis par l’EIIL (Daech) sur le territoire iraquien, conformément à sa résolution 2379 (2017).
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de septembre, M. Abdou Abarry (Niger):
Le Conseil de sécurité s’est penché, ce matin, sur les effets humanitaires de la dégradation de l’environnement dans un monde où, a dénombré la France, on compte quelque 2 500 conflits liés aux combustibles fossiles, à l’eau, à la nourriture et aux terres.
À l’occasion d’un débat public, mais toujours réalisé en visioconférence pour cause de COVID-19, consacré à la mise en œuvre de la résolution 2417 (2018) sur la relation entre les conflits armés et la violence et l’insécurité alimentaire, plusieurs hauts responsables des Nations Unies sont venus, cet après-midi, tirer la sonnette d’alarme devant le Conseil de sécurité face à l’aggravation de la situation alimentaire dans les zones de conflit, du fait de la pandémie.