Le 16 mars 2022, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2374 (2017) concernant le Mali a entendu, dans le cadre de consultations, des déclarations relatives à l’application du régime de sanctions faites par les délégations du Mali, de l’Algérie, du Burkina Faso, de la Gambie, du Ghana (en sa qualité de Président de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest), de la Guinée, du Maroc, de la Mauritanie, du Niger, du Nigéria, du Sénégal et de l’Union africaine.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité: Aucun nom
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par la Présidente du Conseil de sécurité pour le mois d’avril, Mme Barbara Woodward (Royaume-Uni):
Le 1er avril 2022, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) et 2253 (2015) concernant l’EIIL (Daech), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés, a promulgué les modifications spécifiées par les biffures et les soulignements dans les entrées ci-dessous sur sa Liste des individus et entités faisant l’objet de sanctions –gel des avoirs, interdiction de voyager et embargo sur les armes– conformément au paragraphe 1 de la résolution 2610 (2021) du Conseil de sécurité et adoptées en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies:
Le Conseil de sécurité a approuvé, ce matin, la décision du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine (UA) de reconfigurer la Mission de l’Union africaine en Somalie (AMISOM) qui devient la Mission de transition de l’Union africaine en Somalie (ATMIS).
Le Conseil de sécurité a, ce matin, prié le Mécanisme international appelé à exercer les fonctions résiduelles des Tribunaux pénaux internationaux pour l’ex-Yougoslavie et le Rwanda de lui présenter, d’ici au 14 avril 2022, un rapport sur l’état d’avancement de ses travaux, le dernier examen en date remontant à juin 2020.
Incapable d’occuper l’Ukraine, l’agresseur détruit simplement tout ce qu’il peut, a commenté l’Albanie, après que la Coordonnatrice adjointe des secours d'urgence et le Directeur exécutif du Programme alimentaire mondial (PAM) ont alerté aujourd’hui le Conseil de sécurité de la détresse humanitaire, du scénario du pire ou encore d’une catastrophe dans la catastrophe dans le territoire ukrainien.
Trois mois après son dernier exposé, la Représentante spéciale et Cheffe de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) a fait état, ce matin, devant le Conseil de sécurité, d’une inquiétante détérioration de la situation sécuritaire en RDC, notamment dans les provinces de l’Est où les groupes armés sont particulièrement actifs, alors que le pays s’efforce de progresser vers la tenue d’élections générales en 2023, sur fond de tensions politiques.
« À moins de rectifier la trajectoire actuelle, le Soudan se dirigera vers un effondrement économique et sécuritaire, assorti de souffrances humanitaires considérables », a mis en garde ce matin le Représentant spécial du Secrétaire général pour ce pays, M. Volker Perthes, en n’excluant pas une issue comparable à celle que connaissant la Libye ou le Yémen.
Le Président du Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1591 (2005) concernant le Soudan a prévenu, ce matin, devant le Conseil de sécurité, que l’application de l’Accord de paix de Djouba risque d’être compromise en raison de l’absence d’un soutien réel de la communauté internationale au Soudan.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par la Présidente du Conseil de sécurité pour le mois de mars, Mme Lana Zaki Nusseibeh (Émirats arabes unis):