L’Assemblée a adopté, aujourd’hui, 55 résolutions et décisions de sa Première Commission, chargée des questions de désarmement et de sécurité internationale. Couvrant ces questions sous tous leurs aspects, ces textes ont fait l’objet de nombreuses mises aux voix, une tendance qui traduit la persistance de divisions entre les États quant aux moyens à privilégier pour réduire les risques émergents et faire appliquer à la lettre les accords du désarmement multilatéral. L’adoption de cinq autres projets de résolution a été reportée à une date ultérieure en raison d’incidences budgétaires devant être examinées par la Cinquième Commission de l’Assemblée.
En cours au Siège de l'ONU
Plénière
Après avoir adopté par consensus sa résolution sur l’édification d’un monde pacifique et meilleur grâce au sport et à l’idéal olympique, l’Assemblée générale a proclamé aujourd’hui 2022, Année internationale des sciences fondamentales pour le développement durable.
Au cours de son débat annuel sur la question de Palestine et la situation au Moyen-Orient, l’Assemblée générale a adopté aujourd’hui, par vote, trois résolutions et a entendu plusieurs délégations plaider pour la reprise des pourparlers de paix, afin de parvenir à la solution des deux États que beaucoup ont jugé compromise par l’expansion des colonies israéliennes et les actes des extrémistes des deux bords.
Avant d’achever ses débats sur le rapport de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et la réforme du Conseil de sécurité, l’Assemblée générale a décidé*, aujourd’hui, par consensus d’accorder au Bangladesh, au Népal et à la République démocratique populaire lao, « à titre exceptionnel », une période préparatoire de cinq ans conduisant à leur retrait de la catégorie des pays les moins avancés (PMA).
Après avoir adopté, hier, une Déclaration politique dans laquelle ils ont « manifesté leur ferme volonté politique d’agir résolument et de concert pour mettre fin au crime odieux » de la traite des personnes, les délégations ont, aujourd’hui, décrit les différentes facettes de ce fléau, y compris comme l’a dit la Pologne, « l’instrumentalisation de la migration » par le Bélarus.
« Nous, États Membres de l’ONU, réaffirmons le Plan d’action mondial des Nations Unies pour la lutte contre la traite des personnes et manifestons notre ferme volonté politique d’agir résolument et de concert pour mettre fin à ce crime odieux. » C’est par ces mots que les États Membres commencent leur « Déclaration politique de 2021 sur l’application du Plan » adoptée par consensus à la réunion de haut niveau que l’Assemblée générale a tenue aujourd’hui.
Au lendemain de la vingtième-sixième Conférence des États parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP26), le Directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a fait, aujourd’hui, devant l’Assemblée générale, un vibrant plaidoyer en faveur de l’énergie nucléaire.
L’Assemblée générale a poursuivi aujourd’hui le débat qu’elle a entamé hier sur la réforme du Conseil de sécurité, un point inscrit à son ordre du jour en 1979, et dont les « négociations intergouvernementales » entrent dans leur quatorzième année.
Après avoir entamé son débat annuel sur la réforme du Conseil de sécurité, l’Assemblée générale a adopté par consensus une résolution sur la suite donnée au rapport du Secrétaire général « Notre Programme commun »*. Par ce texte, l’Assemblée prie M. António Guterres d’informer les États Membres de ses propositions, d’engager avec eux, ainsi qu’avec toutes les composantes du système des Nations Unies et les autres partenaires concernés, de vastes consultations. Elle demande aussi à son Président d’engager un suivi, dont il assurera la direction d’ensemble, de façon à permettre aux États Membres d’entamer, dans un cadre intergouvernemental inclusif, l’examen des diverses propositions, idées et moyens éventuels de mise en œuvre.
L’Assemblée générale a procédé, ce matin, à l’élection* des 34 juristes qui siègeront à la Commission du droit international pour un mandat de cinq ans à compter du 1er janvier 2023. Créée en application de la résolution 174 (II) en date du 21 novembre 1947, la Commission a pour mandat de promouvoir le développement progressif du droit international et sa codification.