La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a examiné aujourd’hui les recommandations du Corps commun d’inspection (CCI) pour corriger les faiblesses décelées dans les comités d’audit et de contrôle des entités des Nations Unies, mais aussi les cadres, stratégies, politiques et pratiques en matière d’informatique en nuage.
En cours au Siège de l'ONU
Cinquième Commission
Ce matin, à la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires, la Chine s’est dite gravement préoccupée par le scénario de plus en plus « sombre » de la composition démographique du Secrétariat de l’ONU qui comptait, au 31 décembre 2018, 37 505 fonctionnaires.
Ce matin, à la reprise de session de la Cinquième Commission, les États-Unis et l’Union européenne ont critiqué la décision que l’Assemblée générale a prise, le 14 janvier dernier, d’augmenter de 16 à 21 le nombre des membres du Comité consultatif pour les questions administratives et budgétaires (CCQAB).
À l’issue d’une session marquée par les mesures d’austérité du Secrétaire général pour remédier à la crise financière qui frappe l’ONU, la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a achevé, aujourd’hui, la première partie de sa session, en recommandant à l’Assemblée générale un budget exact de 3 073 830 500 dollars pour le Secrétariat de l’Organisation en 2020.
Quelques minutes à peine après que l’Assemblée générale a autorisé la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires à poursuivre ses travaux jusqu’au 27 décembre 2019, le Président de la Commission, M. Andreas Mavroyannis, s’est voulu rassurant quant à l’issue des négociations censées aboutir à l’adoption du premier budget annuel de l’ONU depuis 1972.
Alors que la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires examinait aujourd’hui l’exécution du budget 2018-2019, la Fédération de Russie a contesté l’ampleur de la crise financière de l’ONU et interpelé son Contrôleur sur le bien-fondé des mesures d’austérité, allant même jusqu’à accuser le Secrétariat de violer ses règles financières.
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires, a appris, ce matin, au grand désespoir du Japon, que les dépenses à imputer au fonds de réserve en 2020 ont fait un bond de 300%*. La Commission était aussi saisie d’une demande** de crédit pour l’Opération hybride Union africaine-Nations Unies au Darfour (MINUAD) et pour les activités de l’Éminente Personnalité chargée de superviser l’enquête*** sur les circonstances de la mort de l’ancien Secrétaire général de l’ONU, Dag Hammarskjöld.
À huit jours de la fin de ses travaux, le 24 décembre à minuit, contre la date du 13 décembre, prévue auparavant, la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a accéléré, ce matin, la cadence, en passant en revue les ressources demandées pour financer, en 2020, pas moins de deux missions politiques spéciales, une mission humanitaire et un comité d’experts, soit 80,5 millions de dollars de crédits au total.
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires, était saisie, ce vendredi matin, de demandes de crédit pour le Conseil des droits de l’homme, l’Office des Nations Unies à Nairobi (ONUN) et le Bureau de l’Envoyée spéciale du Secrétaire général pour le Myanmar.
Le Contrôleur de l’ONU a administré, ce matin, aux États Membres une piqûre de rappel, les exhortant à assumer leur responsabilité d’approuver le budget de l’Organisation pour 2020 avant la date butoir du 1er janvier. Faute de quoi, a dit M. Chandramouli Ramanathan à la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires, le Secrétaire général sera contraint de « fermer » toutes les opérations financées par le budget ordinaire dans le monde et de maintenir un minimum de personnel pour la sécurité des locaux de l’ONU et de ses effectifs.