Si les préoccupations persistent face à l’état actuel du dialogue interburundais, l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour le Burundi a néanmoins indiqué, cet après-midi, devant le Conseil de sécurité, que la reconnaissance officielle, le 14 février dernier, du nouveau parti politique d’opposition, le Congrès national pour la liberté, « pourrait contribuer à l’ouverture de l’espace politique du pays », notamment dans la perspective de l’élection présidentielle de 2020.