Le 7 février 2019, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2048 (2012) concernant la Guinée-Bissau a tenu des consultations pour entendre un exposé sur la situation concernant le trafic et les activités liées à la criminalité internationale en Guinée-Bissau, qui a été fait par un représentant de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC).
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
Le 28 février 2019, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) et 2253 (2015) concernant l’EIIL (Daech), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés a approuvé l’inscription de l’entrée ci-dessous sur la Liste des individus et entités faisant l’objet de sanctions –gel des avoirs, interdiction de voyager et embargo sur les armes– conformément au paragraphe 1 de la résolution 2368 (2017) du Conseil de sécurité et adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies:
Le Conseil de sécurité a, ce matin, prorogé* le mandat du Bureau intégré des Nations Unies pour la consolidation de la paix en Guinée-Bissau (BINUGBIS) pour une période de 12 mois allant du 1er mars 2019 au 28 février 2020, « le dernier renouvèlement du mandat du Bureau dans sa configuration actuelle, après bientôt 20 ans de présence dans notre pays », a souligné le Ministre des affaires étrangères de la Guinée-Bissau.
Le Conseil de sécurité a adopté, ce matin, la résolution 2457 (2019), dans laquelle il salue la détermination de l’Union africaine (UA) à débarrasser l’Afrique des conflits et à « faire taire les armes » d’ici à 2020. Ce texte a été adopté, à l’unanimité, à l’entame d’un débat public, qui aura vu la cinquantaine d’orateurs afficher un certain optimisme sur l’avenir du continent.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de février, Anatolio Ndong Mba (Guinée équatoriale):
Ce matin, le Conseil de sécurité a adopté à l’unanimité la résolution 2456 (2019) par laquelle il reconduit pour un an les mesures imposées au Yémen par le régime de sanctions -gel des avoirs et interdictions de voyage- et réaffirme l’embargo sur les armes instauré en 2015 notamment contre les rebelles houthistes. Le Conseil proroge en outre le mandat du Groupe d’experts sur le Yémen jusqu’au 28 mars 2020.
Le 12 février 2019, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1591 (2005) concernant le Soudan a rencontré les représentants du Soudan, de l’Égypte, de l’Érythrée, de l’Éthiopie, de la Libye, de l’Ouganda, de la République centrafricaine, du Soudan du Sud et du Tchad.
Le Conseil de sécurité a entendu, ce matin, un compte-rendu, par les délégués de la Côte d’Ivoire et de la Guinée équatoriale, de la mission « fructueuse » qu’il a effectuée en Afrique de l’Ouest du 13 au 17 février, afin d’y évaluer la situation politique et les efforts de consolidation de la paix en Côte d’Ivoire, au Libéria et en Guinée-Bissau.
Trois jours après que le Gouvernement vénézuélien a bloqué des convois humanitaires aux frontières avec la Colombie et le Brésil et un mois, jour pour jour, après la toute première séance jamais consacrée à la situation au Venezuela, le Conseil de sécurité s’est à nouveau réuni, cet après-midi, pour discuter de cette crise à propos de laquelle ses membres ont affiché des divisions persistantes, lors d’échanges parfois très vifs.
Au Conseil de sécurité aujourd’hui, la Directrice du plaidoyer et des opérations au Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA), Mme Reena Ghelani, a demandé aux États de veiller au financement du Plan de réponse humanitaire pour la Syrie qui cible, en 2019, près de 11,7 millions de personnes.