Pour la première fois depuis 2013, le Conseil de sécurité a consacré, ce matin, une séance au rôle des ressources naturelles dans le déclenchement et la perpétuation des conflits, ou plus précisément au rôle joué, « aux dépens des citoyens locaux », par la « monopolisation » du contrôle, de l’exploitation et de l’accès à ces ressources « par des intérêts étrangers, des sociétés multinationales, des acteurs de premier plan et des groupes armés », selon les termes de la note de cadrage qu’a faite circuler la présidence bolivienne du Conseil auprès des autres membres.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
Le 15 octobre 2018, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) et 2253 (2015) concernant l’EIIL (Daech), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés a approuvé l’inscription de l’entrée ci-dessous sur la Liste des individus et entités faisant l’objet de sanctions.
Tout juste de retour de la République démocratique du Congo (RDC), où le Conseil de sécurité l’avait dépêchée, une délégation formée de la Bolivie, de la France et de la Guinée équatoriale a fait aujourd’hui aux autres membres du Conseil un compte rendu de sa mission dans un pays en plein préparatifs de ses élections présidentielle, législatives et provinciales prévues le 23 décembre prochain.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’octobre, M. Sacha Sergio Llorentty Solíz (Bolivie):
Le 31 août 2018, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2048 (2012) concernant la Guinée-Bissau a tenu des consultations pour examiner le rapport du Secrétaire général sur les progrès accomplis en ce qui concerne la stabilisation et le retour à l’ordre constitutionnel en Guinée-Bissau (S/2018/791), présenté en application du paragraphe 28 de la résolution 2404 (2018).
À deux mois et demi des élections présidentielle, législatives et provinciales, « le processus électoral évolue conformément au calendrier », a, ce matin, devant le Conseil de sécurité, indiqué la Représentante spéciale du Secrétaire général et Chef de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO), Mme Leila Zerrougui, par visioconférence depuis Kinshasa.
Constatant que la situation qui règne à Abyei et le long de la frontière entre le Soudan et le Soudan du Sud continue de menacer gravement la paix et la sécurité internationales, le Conseil de sécurité a, cet après-midi, décidé de proroger jusqu’au 15 avril 2019 le mandat de la Force intérimaire de sécurité des Nations Unies pour Abyei (FISNUA).
Le 10 août 2018, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2140 (2014) a examiné, lors de consultations, l’étude présentée par le Groupe d’experts sur le Yémen concernant les attaques de navires civils dans la mer Rouge.
En Colombie, deux ans après l’Accord de paix, « la réintégration économique des anciens combattants demeure un sujet de préoccupation majeure », dans le contexte où la vaste majorité des ex-combattants concernés par la réintégration n’a toujours pas de perspective économique claire.
Le 4 octobre 2018, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) et 2253 (2015) concernant l’EIIL (Daech), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés a approuvé l’inscription de l’entrée ci‑dessous sur la Liste des individus et entités faisant l’objet de sanctions