En cours au Siège de l'ONU

Communiqués de presse


SG/SM/9131-ECO/52
27/01/2004
Communiqué de presse
SG/SM/9131
ECO/52


LA TRANSPARENCE ET LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION SONT INDISPENSABLES A L’ELIMINATION DES CAUSES PROFONDES DE NOMBREUX PROBLEMES DANS LE MONDE


Vous trouverez ci-après le texte de l’allocution prononcée aujourd’hui à Paris par le Secrétaire général, Kofi Annan, lors d’une réunion avec le Président Chirac et des chefs d’entreprise consacrée au Pacte mondial:

SG/SM/9129-IK/419
27/01/2004
Communiqué de presse
SG/SM/9129
IK/419


KOFI ANNAN ENVERRA UNE MISSION EN IRAQ POUR EVALUER LA FAISABILITE D’ELECTIONS D’UNE ASSEMBLEE PROVISOIRE DES QUE LA COALITION PRENDRA DES MESURES DE SECURITE


La déclaration suivante a été faite aujourd’hui à Paris par le Secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan:

DH/G/312
27/01/2004
Communiqué de presse
DH/G/312


LE HAUT COMMISSAIRE AUX DROITS DE L'HOMME PAR INTERIM DEMANDE UNE ENQUETE

SUR LE MEURTRE D'UN DIRIGEANT SYNDICAL CAMBODGIEN


GENEVE, 26 janvier -- Le Haut Commissaire aux droits de l'homme par intérim, M. Bertrand Ramcharan, a condamné le meurtre du dirigeant syndical cambodgien Chea Vichea et a demandé aux autorités cambodgiennes de faire tout leur possible pour traduire les meurtriers et leurs commanditaires en justice.

CD/G/610
27/01/2004
Communiqué de presse
CD/G/610


LA CONFERENCE DU DESARMEMENT ADOPTE SON ORDRE DU JOUR ET ENTEND

UNE DECLARATION DE LA SYRIE


GENEVE, 27 janvier -- La Conférence du désarmement a adopté, ce matin, l'ordre du jour de sa session de 2004 et a entendu la Syrie, qui a souligné qu'elle avait lancé une initiative visant à faire du Moyen-Orient une zone exempte d'armes de destruction massive.

SG/SM/9126
26/01/04
Communiqué de presse
SG/SM/9126


LE SECRETAIRE GENERAL SE PRONONCE POUR DES INTERVENTIONS RIGOUREUSES, Y COMPRIS MILITAIRES, POUR PREVENIR OU ARRETER UN GENOCIDE


On trouvera ci-après le texte de l’allocution du Secrétaire général, Kofi Annan, au Forum international de Stockholm, le 26 janvier 2004:


Il ne peut y avoir de question plus importante, ni d’obligation plus impérieuse, que la prévention du génocide.