République centrafricaine


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Déplacements forcés: le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) a publié aujourd’hui son rapport annuel phare sur les tendances mondiales des déplacements forcés qui montre qu’à la fin de 2022, le nombre des déplacés par les guerres, les persécutions, la violence et les abus des droits de l’homme a atteint le seuil record de 108 millions, soit 19,1 millions de plus que l’année précédente, ce qui est la plus grande augmentation de tous les temps.

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Violence contre les enfants: Le Bureau de la Représentante spéciale pour la violence contre les enfants et quelques agences de l’ONU ont lancé une Note d’orientation sur la protection des droits des enfants forcés de fuir chez eux pendant les crises. Avec plus de 42 millions d’enfants déplacés dans le monde, la Note part des enseignements tirés des crises passées et présentes et souligne les principes sur lesquels doivent se fonder une protection renforcée de tous les enfants.

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Éthiopie: les dernières inondations ont causé des mouvements de populations et des dégâts importants dans le sud et l’est du pays. La région de Somali est la plus affectée avec plus de 35 000 ménages déplacés et plus de 45 pertes en vies humaines.  Plus de 23 000 têtes de bétail sont mortes et près de 100 000 hectares de terres agricoles ont été détruits par les inondations.

SG/A/2202

Le Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, a annoncé aujourd’hui la nomination du général de division Humphrey Nyone, de la Zambie, comme commandant de la force de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA).

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Haïti: Le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) a indiqué que la violence en Haïti a augmenté le nombre d’enfants qui souffrent de malnutrition grave aigüe. Selon une nouvelle étude sur la nutrition, plus de 115 000 enfants en Haïti devraient montrer, cette année, des signes d’amaigrissement grave, par rapport à 87 000, l’année dernière. La violence en Haïti a limité l’accès des enfants à une nutrition de base, aux soins de santé, à l’eau potable, à l’hygiène et à l’assainissement.  En conséquence, dans plusieurs communes de la zone de Port-au-Prince, un enfant sur cinq souffre d’une forme ou l’autre de malnutrition.