En cours au Siège de l'ONU

​​​​​​​Le Comité 1970 du Conseil de sécurité ajoute une entrée à sa liste relative aux sanctions

SC/14674

Le 25 octobre 2021, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1970 (2011) concernant la Libye a approuvé l’ajout de l’entrée ci-après à sa liste relative aux sanctions concernant les personnes et entités visées par les mesures imposées par les résolutions 1970 (2011) et 1973 (2011) du Conseil de sécurité et adoptées en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies.

La Cinquième Commission examine le financement toujours controversé des missions politiques spéciales, dont une enveloppe de 730 millions de dollars pour 2022

AG/AB/4374

« Tous les chemins mènent à la Cinquième Commission » a déclaré le Président de l’Assemblée générale, M. Abdulla Shahid, à l’organe chargé des questions administratives et budgétaires qui examinait, aujourd’hui, l’enveloppe de 730 millions de dollars proposée par le Secrétaire général pour financer les 38 missions politiques spéciales en 2022, soit une augmentation de 0,04% par rapport à 2021. 

À la Sixième Commission, un équilibre difficile à trouver dans l’examen de la portée et de l’application du principe de compétence universelle 

AG/J/3642

La Sixième Commission, chargée des affaires juridiques, a terminé ce matin un débat nourri sur la portée et l’application du principe de compétence universelle.  Une majorité de délégations ont souligné l’importance de trouver un équilibre entre respect de la souveraineté et lutte contre l’impunité.  Plusieurs d’entre elles ont indiqué qu’elles se fondent avant tout sur le principe de territorialité.  D’autres ont dit accepter l’application de la compétence universelle pour les crimes les plus graves.  Pour le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui a eu le dernier mot, le principe de compétence universelle constitue en fait « un outil clef pour assurer la prévention et la répression des violations graves du droit international humanitaire ». 

Troisième Commission: l’Envoyée spéciale pour le Myanmar met en garde contre le risque d’un conflit de longue durée

AG/SHC/4329

L’Envoyée spéciale du Secrétaire général pour le Myanmar a alerté, aujourd’hui, devant la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, que les possibilités de replacer le pays sur la voie de la réforme démocratique s’amenuisent, alertant des risques qu’un conflit de longue durée ne s’installe, huit mois après la prise du pouvoir par les militaires. 

Quatrième Commission: plusieurs délégations appellent à soutenir et financer l’UNRWA et ses services essentiels auprès des réfugiés palestiniens

CPSD/738

Au troisième jour de son débat général conjoint, la Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation (Quatrième Commission) a entendu, cet après-midi, près d’une trentaine d’intervenants, dont plusieurs ont plaidé pour un financement accru de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA).

 

Point de presse quotidien du Bureau du Porte-parole du Secrétaire général de l’ONU: 22 octobre 2021

Dbf211022

Nos collègues humanitaires en Afghanistan indiquent qu’entre le 1er septembre et le 15 octobre, nous avons fourni, avec nos partenaires, une aide alimentaire à quatre millions de personnes dans le pays.  Nous avons également dispensé des soins de santé primaires à 790 000 personnes, fourni un traitement contre la malnutrition aiguë à plus de 85 000 enfants et soutenu plus de 27 000 personnes avec des services psychosociaux.  En outre, nous avons aidé 165 000 personnes touchées par la sécheresse avec du camion d’eau, atteint plus de 39 000 enfants avec des activités éducatives communautaires et soutenu près de 54 000 personnes avec une assistance non alimentaire standard.

 

Sixième Commission: satisfaction autour du programme pour la diffusion du droit international et vives critiques contre le principe de compétence universelle

AG/J/3641

La Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a conclu, aujourd’hui, son débat sur la protection des personnes en cas de catastrophe et entendu près d’une quarantaine de délégations redire leur attachement au Programme d’assistance des Nations Unies aux fins de l’enseignement, de l’étude, de la diffusion et d’une compréhension plus large du droit international.  Elle a entamé son débat sur la compétence universelle avec les virulentes critiques de certaines délégations à l’encontre de ce principe, défendu par d’autres comme un instrument essentiel de lutte contre l’impunité. 

Point de presse quotidien du Bureau du Porte-parole du Secrétaire général de l’ONU: 21 octobre 2021

dbf211021

Ce matin, le Secrétaire général est intervenu au débat public du Conseil de sécurité sur les femmes, la paix et la sécurité.  Il a déclaré que les femmes sont des consolidatrices de la paix, des agents du changement, des leaders et des activistes, et pourtant elles restent trop souvent à la périphérie des processus de paix officiels et sont exclues des salles où les décisions se prennent.

Conseil de sécurité: les femmes doivent passer de la « périphérie au centre » des processus de paix, plaident les délégations

CS/14672

Sous la présidence du Kenya, le Conseil de sécurité a organisé aujourd’hui un débat public ministériel sur le rôle que les femmes jouent dans le maintien et la consolidation de la paix, à l’occasion du vingt-et-unième anniversaire de sa résolution 1325 (2020), dont les « progrès limités » en matière de mise en œuvre ont été pointés par la soixantaine d’intervenants à cette séance.  Pour changer la donne, il faut « faire passer les femmes de la périphérie au centre », a plaidé la Secrétaire d’État aux affaires étrangères du Kenya, Mme Raychelle Omamo.