Le Conseil de sécurité, réuni ce matin par visioconférence, s’est penché sur la situation au Yémen en entendant les exposés de l’Envoyé spécial du Secrétaire général, M. Martin Griffiths, et du Sous-Secrétaire général par intérim aux affaires humanitaires et Coordonnateur adjoint des secours d’urgence, M. Ramesh Rajasingham.
Dans l’impossibilité de se réunir depuis le 16 mars, en raison des mesures de distanciation sociale imposées au Siège de l’ONU à New York, l’Assemblée générale ne reste néanmoins pas silencieuse pendant cette pandémie de COVID-19.
Dans une nouvelle note d’orientation sur la COVID-19 et la nécessité d’agir sur le plan de la santé mentale, le Secrétaire général présente une série de recommandations pour veiller à ce que les services de santé mentale soient pleinement intégrés aux plans d’intervention et de rétablissement face à la COVID-19.
« À moins que les parties prennent les mesures énoncées », le Conseil de sécurité a prorogé aujourd’hui pour la dernière fois, par la résolution 2519 (2020), adoptée à l’unanimité, le mandat de la Force intérimaire de sécurité des Nations Unies pour Abyei (FISNUA), jusqu’au 15 novembre 2020.
On trouvera ci-après le texte du message vidéo diffusé par le Secrétaire général à l’occasion de la publication de la note de synthèse sur « la nécessité de tenir compte de la santé dans le cadre de la lutte contre la COVID-19 », à New York, aujourd'hui:
La Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) a déclaré aujourd’hui que la pandémie avait entraîné une baisse de 3% du commerce mondial au premier trimestre de l’année.
À l’occasion de la Journée internationale des infirmières, le Secrétaire général a remercié les infirmières qui prennent soin de nous, aujourd’hui et chaque jour de l’année.
« On ne saurait trop insister sur l’ampleur des défis auxquels est confronté l’Iraq », a déclaré aujourd’hui, au Conseil de sécurité, la Représentante spéciale du Secrétaire général et Chef de la Mission d’appui des Nations Unies en Iraq (MANUI).
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) ont déclaré aujourd’hui que les interruptions de traitement en raison de la COVID-19 pourraient provoquer des centaines de milliers de décès supplémentaires dus au VIH.
On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, sur le lancement de son Appel mondial pour combattre et contrer les discours de haine liés à la COVID-19, aujourd’hui à New York: