En cours au Siège de l'ONU

Couverture des réunions


CS/12946

Le Conseil de sécurité a exprimé, ce matin sa, « profonde préoccupation face aux besoins humanitaires dans le monde, qui n’ont jamais été si grands », et au « risque de famine qui menace plus de 20 millions de personnes au Yémen, en Somalie, au Soudan du Sud et dans le nord-est du Nigéria », quatre pays en conflit.

CS/12941

Le Conseil de sécurité s’est penché, ce matin, sur l’amélioration de l’efficacité des sanctions imposées par l’Organisation des Nations Unies, cet instrument « entre les mots et la guerre » considéré par beaucoup comme une composante essentielle des pouvoirs mis à sa disposition pour préserver la paix et la sécurité internationales.

CS/12938

« Fournir des armes aux terroristes revient à leur fournir le moyen de tuer, détruire et terroriser. »  C’est sur cette prémisse, rappelée par le représentant de l’Égypte, que le Conseil de sécurité a adopté, ce matin, une résolution visant à empêcher les terroristes de se procurer des armes ou les moyens d’en fabriquer.

CS/12937

Le Conseil de sécurité a adopté, ce matin, une déclaration présidentielle dans laquelle il exprime sa préoccupation face à la stagnation du dialogue au Burundi, et « demande instamment à toutes les parties burundaises de prendre des mesures supplémentaires pour sortir de l’impasse politique actuelle ».

AG/11932

Les délégations qui ont pris part à la réunion de l’Assemblée générale de ce jour ont unanimement salué la récente création du Bureau de lutte contre le terrorisme, en souhaitant qu’il veille à ce que ses tâches soient conformes aux quatre piliers de la Stratégie antiterroriste mondiale des Nations Unies.

CS12932

Tout en constatant une diminution récente de la violence dans certaines régions de la Syrie, Mme Ursula Mueller, Sous-Secrétaire générale aux affaires humanitaires et Coordonnatrice adjointe des secours d’urgence, s’est inquiétée, ce matin, devant le Conseil de sécurité, de la situation humanitaire « extrêmement difficile » dans laquelle se trouvent toujours les civils, une situation aggravée, selon elle, par la persistance d’entraves à l’accès humanitaire.  Mais elle a été vivement prise à partie par le représentant de la République arabe syrienne, qui a reproché à ses services de vouloir se substituer au Gouvernement syrien et à l’ONU de ne pas prendre en compte les victimes et les dommages causés par la « prétendue coalition internationale » dirigée par les États-Unis.