En cours au Siège de l'ONU

Conseil de sécurité


CS/12623

Alors que les cinq individus visés par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour les crimes graves commis au Darfour n’ont toujours pas été appréhendés, la Procureure de la Cour, Mme Fatou Bensouda a invité, ce matin, le Conseil de sécurité à se poser des questions « honnêtes, mais difficiles ».

CS/12620

Au lendemain des attentats qui ont endeuillé Istanbul, Le Caire et Mogadiscio, le Conseil de sécurité a, cet après-midi, sous la présidence du Ministre espagnol de la justice, M. Rafael Catalá, demandé à tous les États d’envisager d’établir des lois et mécanismes de nature à favoriser la coopération internationale en matière de lutte contre le terrorisme, leur demandant également de devenir parties à toutes les conventions internationales pertinentes et à leurs protocoles.

SC/12621

Le 12 décembre 2016, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) et 2253 (2015) concernant l’EIIL (Daech), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés a approuvé l’inscription de l’entrée ci‑après sur la Liste des individus et entités associés à ISIL (Daech)et Al-Qaida faisant l’objet de sanctions:

SC/12619

Le 2 décembre 2016, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2127 (2013) concernant la République centrafricaine a tenu des consultations pour examiner le rapport final du Groupe d’experts soumis en application du paragraphe 23 c) de la résolution 2262 (2016).

CS/12615

Le Vice-Secrétaire général de l’ONU, M. Jan Eliasson, et le Sous-Secrétaire général aux droits de l’homme, M. Andrew Gilmour, ont dressé, ce matin, devant le Conseil de sécurité, un tableau « consternant » de la situation des droits de l’homme en République populaire démocratique de Corée (RPDC), marquée notamment par la pratique de formes d’esclavage, d’actes de torture et de travail forcé et des persécutions pour motifs politique, religieux et racial.

CS/12614

Le Conseil de sécurité a, ce matin, organisé son débat semestriel sur les activités du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY), qui doit achever ses travaux à la fin de l’année 2017, et du Mécanisme international appelé à exercer les fonctions résiduelles du TPIY et du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR), juridiction qui a fermé ses portes en décembre 2015.  L’un et l’autre se heurtent à des difficultés dans la réalisation de leurs objectifs, ont expliqué juges et procureurs.