Sous la présidence du Premier Ministre de l’Espagne, M. Mariano Rajoy, le Conseil de sécurité a engagé, ce matin, les États Membres à prendre des mesures décisives et immédiates pour prévenir et réprimer la traite des êtres humains, notamment dans le cadre des conflits armés, un appel repris à son compte par le Secrétaire général de l’ONU.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de décembre, M. Román Oyarzun Marchesi (Espagne):
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de décembre, M. Román Oyarzun Marchesi (Espagne):
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de décembre, M. Román Oyarzun Marchesi (Espagne):
Aujourd’hui, au Conseil de sécurité, le Secrétaire général de l’ONU, qui a décrit le Soudan du Sud comme « une des crises les plus urgentes au monde », a réitéré son appel à un embargo sur les armes pour réduire la « capacité de nuisance » de toutes les parties au conflit. Le représentant sud-soudanais a vu là une proposition « inacceptable », alors que le Coordonnateur des secours d’urgence se demandait ce que le Conseil attend pour prendre des mesures de prévention.
Comme chaque année en décembre, le Conseil de sécurité a entendu, cet après-midi, les Présidents sortants de neuf de ses organes subsidiaires, ces comités ou groupes de travail créés par le Conseil pour l’assister sur l’application de sanctions et autres questions spécifiques. Arrivés au terme de leur mandat de 12 mois, les cinq Présidents ont fait des propositions concrètes visant à améliorer l’efficacité de leurs instances, après s’être livrés à une critique en règle de leur fonctionnement, dont la règle du consensus.
Le Représentant spécial du Secrétaire général pour l’Afghanistan, M. Tadamichi Yamamoto, a appelé, ce matin, devant le Conseil de sécurité, les pays voisins à jouer un rôle « positif » dans la recherche de la paix en Afghanistan. Celle-ci, a-t-il rappelé, ne pourra pas découler d’une solution militaire mais de pourparlers entre les Taliban et le Gouvernement afghan. S’engager dans un processus de paix ne revient pas à admettre une défaite, mais à reconnaître la réalité, a estimé le Représentant spécial, appuyé en ce sens par une majorité de délégations.
Le Conseil de sécurité a renouvelé, ce matin, pour une période de six mois, soit jusqu’au 30 juin 2017, le mandat de la Force des Nations Unies chargée d’observer le désengagement (FNUOD).
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de décembre, M. Román Oyarzun Marchesi (Espagne):
Le Conseil de sécurité a prorogé, ce matin, jusqu’au 30 novembre 2017, « ou jusqu’à l’achèvement des affaires dont ils sont ou seront saisis si celui-ci intervient avant », le mandat des juges permanents siégeant aux Chambres de première instance et à la Chambre d’appel du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY), ainsi que celui du Procureur.