Le Conseil de sécurité a, ce matin, prorogé jusqu’au 1er juillet 2020 les sanctions sur les armes et transports transfrontaliers imposées aux groupes armés non étatiques en République démocratique du Congo (RDC).
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
Le Conseil de sécurité a, ce matin, renouvelé le mandat de la Force des Nations Unies chargée d’observer le désengagement (FNUOD) pour une période de six mois, soit jusqu’au 31 décembre 2019, tout en priant le Secrétaire général de veiller à ce qu’elle dispose des moyens et ressources nécessaires pour s’acquitter de son mandat en toute sécurité.
La mise en œuvre de l’Accord revitalisé sur le règlement du conflit en République du Soudan du Sud reste le seul moyen de parvenir à une solution politique à la crise, a souligné le Représentant spécial du Secrétaire général pour ce pays.
Il y a de « sérieuses raisons de s’inquiéter » de la situation humanitaire en Syrie, a, une fois de plus, alerté le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires et Coordonnateur des secours d’urgence, M. Mark Lowcock, cet après-midi, au Conseil de sécurité.
Le 25 juin 2019, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2206 (2015) concernant le Soudan du Sud a adopté les modifications (indiquées par des mots biffés ou soulignés) apportées à l’inscription de l’entrée ci-après sur la Liste des personnes et entités visées par les mesures de gel des avoirs et d’interdiction de voyager, prévues aux paragraphes 9 et 12 de la résolution 2206 (2015) du Conseil de sécurité, adoptées en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies:
Afin de succéder à la mission de maintien de la paix de l’ONU en Haïti, dont le retrait définitif est prévu mi-octobre, le Conseil de sécurité a décidé de créer, pour une période initiale d’un an, le Bureau intégré des Nations Unies en Haïti.
Le 24 juin 2019, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1518 (2003) a approuvé le retrait des entités ci-après de la Liste des personnes et entités visées par le gel des avoirs prévu aux paragraphes 19 et 23 de la résolution 1483 (2003) du Conseil de sécurité, adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies.
Le Conseil de sécurité a entendu, ce matin, le Coordonnateur spécial des Nations Unies pour le processus de paix au Moyen-Orient faire le point sur l’application des dispositions de la résolution 2334 (2016), en comparant les exigences de celles-ci avec les faits et les mesures prises par les parties entre le 25 mars et le 10 juin 2019.
Le Représentant spécial du Secrétaire général pour la République centrafricaine a déclaré cet après-midi, devant le Conseil de sécurité, que le succès de l’Accord politique pour la paix et la réconciliation dépendra avant tout de la volonté « inébranlable » des parties de mettre fin à toute forme de violence et de privilégier le dialogue.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de juin, M. Mansour Al-Otaibi (Koweït):