DH/5090
De nombreux représentants de peuples autochtones ont, aujourd’hui, au quatrième jour de la session 2012 de l’Instance permanente sur les questions autochtones, fustigé le mode de fonctionnement de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), qualifiée par certains d’outil de « biocolonisation » des ressources autochtones au service des États Membres.