En présentant son exposé mensuel sur la situation au Yémen, ce matin, devant le Conseil de sécurité, l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour le Yémen, M. Martin Griffiths, a été plus optimiste encore qu’en octobre.
En présentant son exposé mensuel sur la situation au Yémen, ce matin, devant le Conseil de sécurité, l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour le Yémen, M. Martin Griffiths, a été plus optimiste encore qu’en octobre.
Malgré de sérieux défis sécuritaires et humanitaires, la Somalie progresse, mais les avancées enregistrées doivent être confortées par la tenue des élections législatives en 2020-2021, ont reconnu, ce matin, les membres du Conseil de sécurité, lors d’une séance d’information avec le Représentant spécial du Secrétaire général et Chef de la Mission d’assistance des Nations Unies en Somalie (MANUSOM).
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par la Présidente du Conseil de sécurité pour le mois de novembre, Mme Karen Pierce (Royaume-Uni):
Le Coordonnateur spécial pour le processus de paix au Moyen-Orient, M. Nickolay Mladenov, a lancé plusieurs appels, ce matin, au Conseil de sécurité, dans le contexte actuel qu’il a qualifié de « hautement volatile »: les militants palestiniens doivent cesser les activités « qui sapent toute chance de paix et de développement », Israël doit assouplir sa politique d’enfermement et les dirigeants palestiniens doivent mettre fin à leurs divisions.
Devant le Conseil de sécurité, qui examinait cet après-midi le rapport du Secrétaire général sur la Force conjointe du Groupe de cinq pays du Sahel (FC-G5S), les intervenants ont présenté un tableau inquiétant de la détérioration de la sécurité dans la région.
« La réconciliation ne saurait se substituer à la justice, ni même ouvrir la voie à l’amnistie pour les crimes les plus graves », a mis en garde le Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, lors du débat public organisé, aujourd’hui, par le Conseil de sécurité sur le rôle de la réconciliation dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales.
L’implication d’acteurs étrangers et les violations répétées de l’embargo sur les armes alimentent le conflit libyen dont le coût humanitaire est de plus en plus lourd, a dénoncé ce matin, devant le Conseil de sécurité, le Représentant spécial du Secrétaire général pour la Libye et Chef de la Mission d’appui des Nations Unies en Libye (MANUL).
Le Conseil de sécurité a adopté, ce matin, par 12 voix pour et 3 abstentions (Chine, Fédération de Russie et Guinée équatoriale), la résolution 2498( 2019) qui proroge le régime des sanctions révisé à l’encontre de la Somalie jusqu’au 15 novembre 2020 et le mandat du Groupe d’experts sur la Somalie jusqu’au 15 décembre 2020.
Le Conseil de sécurité a reconduit aujourd’hui, pour un an, jusqu’au 15 novembre 2020, le mandat de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA), tout en l’élargissant à l’assistance aux processus électoraux qui doivent se tenir en 2020-2021.
Il n’y a pas d’autre solution que l’opération d’aide humanitaire transfrontalière pour sauver des millions de personnes en Syrie, « il n’y a pas de plan B », a affirmé cet après-midi, au Conseil de sécurité, le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires et Coordonnateur des secours d’urgence, M. Mark Lowcock, appuyé par la majorité des délégations.