Dans une nouvelle note d’orientation sur la COVID-19 et la nécessité d’agir sur le plan de la santé mentale, le Secrétaire général présente une série de recommandations pour veiller à ce que les services de santé mentale soient pleinement intégrés aux plans d’intervention et de rétablissement face à la COVID-19.
En cours au Siège de l'ONU
Burundi
Aujourd’hui, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a lancé son rapport sur le développement humain 2019 consacré aux inégalités. Le rapport, intitulé « Au-delà des revenus, au-delà des moyennes, au-delà du présent », identifie une nouvelle génération d’inégalités qui déterminent de plus en plus les opportunités qu’ont les personnes au XXIe siècle et alimentent les manifestations globales qui touchent le monde entier.
Alors que s’approchent les échéances électorales de mai 2020 au Burundi, les membres du Conseil de sécurité ont montré des avis opposés sur le rôle que les Nations Unies sont appelées à jouer, au cours d’une séance d’information cet après-midi, l’occasion pour l’Envoyé spécial du Secrétaire général Michel Kafando d’annoncer qu’il cesse ses fonctions.
Cet après-midi, pour la première fois depuis février dernier, le Conseil de sécurité s’est réuni pour examiner la situation au Burundi, plongé dans les préparatifs des élections présidentielle et parlementaires de 2020, qui se déroulent dans un contexte préoccupant à plusieurs égards, selon le Sous-Secrétaire général chargé du Bureau d’appui à la consolidation de la paix, M. Oscar Fernandez-Taranco.
L’ONUSIDA est vivement encouragé par l’annonce selon laquelle un homme séropositif a été guéri fonctionnellement du VIH. Le résultat, présenté lors d’une conférence à Seattle, est l’un des deux seuls cas de guérison fonctionnelle rapportée du VIH.
Au Burkina Faso, le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) a déclaré que plus de 100 000 personnes ont été déplacées en raison d’attaques armées et de l’insécurité, la moitié d’entre elles ayant été déplacées au cours des deux derniers mois.
Si les préoccupations persistent face à l’état actuel du dialogue interburundais, l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour le Burundi a néanmoins indiqué, cet après-midi, devant le Conseil de sécurité, que la reconnaissance officielle, le 14 février dernier, du nouveau parti politique d’opposition, le Congrès national pour la liberté, « pourrait contribuer à l’ouverture de l’espace politique du pays », notamment dans la perspective de l’élection présidentielle de 2020.
La situation au Burundi demeure fragile, en raison notamment de l’absence de dialogue politique inclusif, mais du fait aussi des difficultés humanitaires, économiques et financières, et de menaces sécuritaires, a, cet après-midi, déclaré l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour ce pays, M. Michel Kafando, devant le Conseil de sécurité.
Le Secrétaire général se félicite de l’engagement pris le 5 septembre par le Président de la République populaire démocratique de Corée (RPDC), M. Kim Jong-un, de réaliser la dénucléarisation de la péninsule coréenne.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par la Présidente du Conseil de sécurité pour le mois d’août, Mme Karen Pierce (Royaume-Uni):