République démocratique du Congo


CS/14743

À l’unanimité de ses 15 membres, le Conseil de sécurité a décidé de proroger la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) pour 12 mois de plus, soit jusqu’au 20 décembre 2022 et, « à titre exceptionnel et sans créer de précédent ni remettre en cause les principes convenus régissant les opérations de maintien de la paix », la brigade d’intervention de cette même Mission. 

CS/14719

Les membres du Conseil de sécurité ont, ce matin, été du même avis que la Représentante  spéciale du Secrétaire général pour la République démocratique du Congo (RDC) pour dire que les mesures militaires seraient insuffisantes à relever à elles seules les défis sécuritaires toujours préoccupants dans l’est de la RDC, notamment l’activité des groupes armés, le recrutement d’enfants, l’exploitation illégale des ressources minières, les violences sexistes, la montée du tribalisme et les discours de haine. 

dbf/211129

Aujourd’hui, c’est la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien.  Dans un message pour la Journée, qui a été lu un peu plus tôt ce matin par Maria Louisa Viotti, Chef de Cabinet du Secrétaire général, le Secrétaire général dit qu’alors que la communauté internationale s’efforce de relancer le dialogue israélo-palestinien, il est encouragé par les récents engagements entre de hauts responsables israéliens et palestiniens.  Cependant, ajoute-t-il, contenir la situation n’est pas suffisant. 

Dbf211123

Suite à plusieurs questions soulevées au sujet du personnel de l’ONU en Éthiopie, le Porte-parole a indiqué qu'étant donné la situation sécuritaire qui prévaut dans le pays, et par excès de prudence, l'ONU a décidé de réduire son empreinte dans le pays en relocalisant temporairement toutes les personnes à charge admissibles.  Il est important de noter que le personnel restera en Éthiopie pour remplir les mandats de l’ONU.

dbf211118

Au Soudan, à la suite du récent coup d’état et de la vague de protestations à Khartoum et dans d’autres villes soudanaises, l’ONU a encore une fois constaté que les autorités de facto ont utilisé une force excessive contre les manifestants hier (17 novembre), ce qui aurait entraîné la mort de 15 personnes à ce jour et un nombre non confirmé de blessés.