Maintien de la paix


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Éthiopie: le Bureau de la coordination des affaires humanitaires est, depuis hier, à pied d’œuvre en Éthiopie dans les zones qui ont été frappées par des glissements de terrain.  Les autorités indiquent que plus de 15 500 personnes ont été touchées et soulignent la nécessité d’évacuations, compte tenu du risque d’autres glissements de terrain. 

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Bangladesh: L’ONU suit de très près l’évolution de la situation à Dhaka, la capitale, et dans d’autres régions du Bangladesh.  Elle ne cesse d’appeler toutes les parties à la retenue.  Elle exhorte le Gouvernement à garantir un environnement propice au dialogue et encourage les manifestants à s’engager dans un dialogue pour sortir de l’impasse.

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Syrie: l’OCHA a indiqué hier que le Gouvernement de la Syrie a donné son accord pour que l’ONU achemine l’aide humanitaire à partir de la Türkiye par le poste-frontière de Bab el-Haoua pour une autre période de six mois, soit jusqu’au 13 janvier 2025. Cette prorogation est essentielle pour l’opération transfrontalière qui reste une bouée de sauvetage pour les gens du nord-ouest de la Syrie.  Tous les mois, l’ONU et ses partenaires offrent assistance et services de protection essentiels à une moyenne de plus d’un million de personnes, un nombre inférieur aux années précédentes compte tenu de la pénurie de fonds.

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Territoire palestinien occupé: Le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) qualifie de dangereusement chaotiques les mouvements de milliers de personnes dans Gaza, après le dernier ordre d’évacuer dans lequel Israël demande aux gens de passer par des quartiers où des combats ont lieu et de quitter les zones qui feront l’objet d’autres ordres d’évacuer. L’on voit les gens fuir dans toutes les directions, sans savoir où trouver un lieu sûr.

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République centrafricaine: La Mission des Nations Unies signale que 311 armes ont été remises au Gouvernement hier, dans le cadre du Programme national de désarmement, démobilisation, réintégration et rapatriement. Les armes ont été reprises à des anciens combattants pendant les opérations de désarmement dans plusieurs endroits du pays. Les armes ont fait l’objet d’un marquage pour veiller à leur traçabilité et sont prêtes à être utilisées par les Forces de sécurité de la République centrafricaine.  Celles qui sont inutilisables ont été détruites ou le seront.