Information publique


PI/2302

Le Département de la communication globale (DCG) a scellé, vendredi 13 mai dernier, des accords d’association avec 13 organisations de la société civile. Sélectionnées par le Comité des associations de la société civile du DCG, ces organisations viennent de huit pays: Belgique, Canada, États-Unis, Inde, Liban, Ouganda, Royaume-Uni et Uruguay.

PI/2301

Le Comité de l’information, qui a achevé aujourd’hui sa session annuelle, entamée le 3 mai, Journée mondiale de la liberté de la presse, a adopté à l’unanimité ses deux projets de résolution traditionnels relatifs à « l’information au service de l’humanité » et aux « politiques et activités de l’ONU en matière de communication globale ». 

PI/2300

Au deuxième et dernier jour du débat général du Comité de l’information, une trentaine de délégations se sont succédé pour reconnaître et souvent saluer le travail accompli par le Département de la communication globale des Nations Unies (DCG), qui a su s’adapter à un environnement difficile marqué par la pandémie et s’acquitter de son mandat de « messager » ou de « voix des Nations Unies » à travers la diffusion d’informations fiables.

PI/2299

À l’ouverture des travaux du Comité de l’information, ce matin, la Secrétaire générale adjointe à la communication globale des Nations Unies s’est félicitée que tous les participants à cette séance inaugurale puissent être réunis dans la même salle, après deux ans de formats distanciels et hybrides imposés par la pandémie de COVID-19.  Mais si les choses semblent « presque normales » au Siège de l’ONU, Mme Melissa Fleming a prévenu que la crise sanitaire continue d’avoir des « effets dévastateurs », d’autant qu’une autre épidémie fait rage parallèlement: celle de la désinformation, qui continue de poser un « risque existentiel pour l’humanité ».

dbf220503

Haïti: Les agences humanitaires indiquent que les affrontements entre gangs ont repris aujourd’hui dans la capitale, Port-au-Prince, forçant des centaines de personnes à fuir leurs maisons. Les violences dans la commune de Croix-des-Bouquets ont déplacé plus de 1 200 personnes.  Au moins 26 civils ont été tués et 22 blessés, bien que ces chiffres soient probablement plus élevés.  Des dizaines de maisons ont été incendiées.  Des écoles, des centres médicaux et des marchés ont dû fermer et un hôpital de Marin a été pillé.