La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a commencé aujourd’hui à entendre les exposés d’experts chargés de la situation des droits de l’homme dans des pays précis, en l’occurrence du Myanmar et de la République populaire démocratique de Corée (RPDC). Comme par le passé, cet exercice a été critiqué par les États concernés et le Mouvement des pays non alignés, opposés par principe à cette « exploitation des droits de l’homme à des fins politiques ».
En cours au Siège de l'ONU
Droits humains
Les effets de la pandémie de COVID-19 n’épargnent pas les personnes handicapées, déjà confrontées à une exclusion structurelle, ni même celles atteintes d’albinisme, autre groupe marginalisé, ont averti, aujourd’hui, plusieurs titulaires de mandat lors de dialogues interactifs avec la Troisième Commission, qui ont également permis d’aborder la question des effets délétères qu’ont les changements climatiques sur la jouissance des droits culturels.
La situation des défenseurs des droits de l’homme dans le contexte de la pandémie de COVID-19 a mobilisé, aujourd’hui, l’attention de la Troisième Commission chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, lors d’un dialogue virtuel avec les titulaires de mandats également marquée par des appels à se mobiliser contre les disparitions forcées et à promouvoir un ordre international démocratique et équitable.
Bien que son concept reste controversé, le droit au développement a mobilisé aujourd’hui l’attention de la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles.
La Haute-Commissaire aux droits de l’homme a déclaré, ce matin, devant la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, qu’une politique fondée sur les droits de l’homme est profondément utile dans le contexte d’une pandémie, exhortant dans la foulée les États Membres à se saisir de l’occasion que représente la pandémie de COVID-19 pour « reconstruire en mieux ».
La Troisième Commission chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles a entamé aujourd’hui son imposant examen de la promotion et de la protection des droits de l’homme, et de l’application des instruments aux situations spécifiques de pays, entendant à cette occasion plusieurs titulaires de mandats qui, l’un après l’autre, ont évoqué les répercussions préjudiciables de la pandémie de COVID-19 sur les personnes et leurs travaux.
La Division de la réduction des risques de catastrophes a publié aujourd’hui un rapport indiquant qu’il y a eu une augmentation spectaculaire des catastrophes au cours des 20 dernières années, expliquée par une augmentation des catastrophes liées au climat, y compris des événements météorologiques extrêmes.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a achevé, cet après-midi, son débat général, l’occasion pour les délégations de s’inquiéter, une fois encore, de l’état d’un monde secoué par les conséquences de la pandémie de COVID-19 qui a « exacerbé les vulnérabilités », ainsi que de l’impact de la maladie sur le respect des droits.
La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) s’est félicitée de la désignation d’un Gouvernement de transition au Mali, après plusieurs semaines de négociations. La Mission s’est également félicitée de la levée des sanctions imposées par la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), ajoutant que toutes les conditions étaient désormais réunies pour commencer à travailler sérieusement au cours des 18 prochains mois afin de mettre en œuvre la Charte de transition et de préparer la tenue des élections.
Un échange d’une rare intensité sur la situation des droits de l’homme, notamment au Xinjiang et à Hong Kong, a opposé aujourd’hui deux camps parmi les États Membres au deuxième jour des travaux de la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles.