La Commission économique et financière (Deuxième Commission) s’est réunie, ce matin, pour tenir la dernière des six tables rondes inscrites à l’agenda de ses travaux de cette soixante-sixième session de l’Assemblée générale.
La Cinquième Commission (Questions administratives et budgétaires) a examiné, cet après-midi, les mesures prises par les Nations Unies pour appliquer les Normes comptables internationales pour le secteur public (IPSAS) -principes comptables fondés sur la comptabilité d’exercice conçus à l’intention du secteur public et des organisations internationales- ainsi que les risques liés aux délais fixés et les stratégies mises en place pour y faire face.
À l’approche de la clôture de ses travaux, la Sixième Commission (chargée des affaires juridiques) a adopté sans vote, ce matin, cinq projets de résolution, dont un sur « la responsabilité pénale des fonctionnaires et des experts en mission des Nations Unies » par lequel elle recommande à l’Assemblée générale d’engager vivement les États à prendre toute mesure pour que les infractions pénales commises par des fonctionnaires ou des experts en mission des Nations Unies ne restent pas impunies.
« Nous venons de passer deux années au cours desquelles aucune idée nouvelle, aucun progrès ni aucune négociation n’a abouti », s’est alarmé le représentant de la Nouvelle-Zélande, en parlant de négociations lancées en 2009 et qui, selon certaines délégations, ont connu des progrès notables jusqu’à l’impasse de mars 2011, soit au septième cycle de négociations.
À l’occasion de son débat biannuel sur la protection des civils dans les conflits armés, présidé par le Président du Portugal, M. Aníbal António Cavaco Silva, le Conseil de sécurité a réfléchi aujourd’hui aux moyens qu’il pourrait utiliser pour renforcer son action dans ce domaine. Cette question est plus que jamais d’actualité, en cette année, marquée par les évènements du « printemps arabe », où des populations civiles se sont dressées contre leur gouvernement.
Venu présenter le rapport du Secrétaire général sur la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo* (MONUSCO), le Représentant spécial du Secrétaire général pour ce pays a rappelé le défi logistique que constituait l’organisation des élections présidentielle et législatives du 28 novembre prochain.
La Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation (Quatrième Commission) a conclu ce matin son débat général, consacré aux « pratiques israéliennes affectant les droits du peuple palestinien et des autres Arabes des territoires occupés », qui s’est déroulé sur deux séances.
La plupart des donateurs ont détaillé leur soutien financier par activité opérationnelle des Nations Unies (voir liste ci-après), tandis que d’autres États Membres ont fait part d’une évaluation globale de leurs dons.
La Troisième Commission chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles a adopté aujourd’hui, sans vote, quatre projets de résolution, dont un dans lequel l’Assemblée générale saluerait l’initiative du Gouvernement du Sri Lanka d’accueillir, en 2014 à Colombo, une conférence mondiale sur la jeunesse*.
« Plus représentatif », « plus transparent », « plus légitime », « plus efficace » --. Les délégations n’ont pas manqué, à l’occasion du débat annuel de l’Assemblée générale sur la réforme du Conseil de sécurité, de manifester leur mécontentement face au fonctionnement de cet organe et leur impatience devant l’impasse dans laquelle se trouvent, depuis le mois de mars, les négociations intergouvernementales sur les changements à apporter.