En cours au Siège de l'ONU

Conseil de sécurité


CS/9753
Pour renforcer l’application de la résolution 1820 (2008) sur les femmes, la paix et la sécurité*, le Conseil de sécurité a adopté, ce matin, une résolution exigeant à nouveau de toutes les parties à des conflits armés qu’elles mettent immédiatement et totalement fin à tous les actes de violence sexuelle.
Conférence de presse
mercredi 30 septembre au vendredi 2 octobre, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1540 (2004) tiendra une réunion publique dans la salle du Conseil de tutelle, dans le cadre de l’examen complet de l’application de cette résolution, a annoncé cet après-midi le Président du Comité, le Représentant permanent du Costa Rica auprès des Nations Unies, M. Jorge Urbina.
SC/9752-CD/3195
Le Comité du Conseil de sécurité établi en vertu de la résolution 1540 (2004) tiendra, à compter du 30 septembre et jusqu’au 2 octobre, au Siège des Nations Unies à New York, une réunion publique consacrée à l’examen complet de l’état de l’application de la résolution.
CS/9751
« Plusieurs décisions qui seront prises dans les prochaines semaines en Afghanistan seront déterminantes pour mettre fin à un conflit qui s’est intensifié ces derniers mois », a déclaré aujourd’hui le Représentant spécial du Secrétaire général pour l’Afghanistan et Chef de la Mission d’assistance des Nations Unies en Afghanistan (MANUA), M. Kai Eide, lors d’un débat au Conseil de sécurité, en présence du Ministre afghan des affaires étrangères.
CS/9750
La Présidente du Conseil de sécurité, Mme Susan Rice, des États-Unis, dont le pays assure la présidence tournante pour le mois de septembre, a lu ce matin, au nom des membres du Conseil, une déclaration présidentielle sur la situation en Côte d’Ivoire dans laquelle les 15 membres réitèrent leur entier soutien au processus politique de Ouagadougou, ainsi qu’au calendrier électoral qui a été approuvé par tous les principaux acteurs politiques ivoiriens.
CS/9749
Le Conseil de sécurité s’est réuni ce matin pour entendre une déclaration du Ministre des relations extérieures du Brésil, M. Celso Amorim, qui s’est dit gravement préoccupé par le fait que les mêmes personnes qui ont commis le coup d’État au Honduras risquent de menacer l’inviolabilité de l’ambassade du Brésil à Tegucigalpa, en vue d’arrêter par la force le Président élu du Honduras, M. José Manuel Zelaya.