Le Sous-Secrétaire général aux affaires politiques a affirmé, cet après-midi devant le Conseil de sécurité, que seul un règlement global de la situation en Somalie permettra de répondre au défi que pose la piraterie.
Vivement préoccupé par la menace qu’ils font peser sur la navigation internationale, la sécurité et le développement économique des États de la région, le Conseil de sécurité a condamné, cet après-midi, tous les actes de piraterie et vols à main armée commis en mer au large des côtes des États du golfe de Guinée.
Soulignant le risque de déstabilisation que pose la dissémination d’armes légères et de petit calibre illicites dans la région du Sahel, le Conseil de sécurité a engagé, cet après-midi, les autorités libyennes à prendre toutes les mesures voulues pour empêcher la prolifération de tous types d’armes et de matériel connexe, en particulier de missiles sol-air portables, « et assurer leur bonne garde ».
En débattant de la consolidation de la paix après les conflits, le Conseil de sécurité a, ce matin, fait le point sur les efforts déployés par les Nations Unies pour donner à cette phase déterminante du maintien de la paix toute la place qu’elle mérite dans le cadre d’une stratégie intégrée.
Au lendemain de l’attribution du prix Nobel de la paix 2011 à trois éminentes personnalités féminines, le Conseil de sécurité a tenu aujourd’hui son débat annuel sur les femmes, la paix et la sécurité, au cours duquel il a adopté une déclaration présidentielle en vue de remobiliser le système des Nations Unies et les États Membres dans la mise en œuvre de sa résolution pionnière 1325.
Le Conseil de sécurité a adopté sans vote, ce matin, son rapport annuel* à l’Assemblée générale, qui couvre la période allant du 1er août 2010 au 31 juillet 2011.
Le Conseil de sécurité a décidé, ce matin, que les dispositions clefs de la résolution 1973 (2011), qu’il avait adoptée* le 17 mars 2011 afin d’interdire tous vols dans l’espace aérien de la Libye pour protéger la population civile et faire cesser les hostilités, deviendront caduques le 31 octobre 2011 à 23 h 59, heure libyenne.
La Déclaration de libération totale de la Libye, à laquelle j’ai eu l’« immense privilège » de représenter le Secrétaire général, dimanche 23 octobre à Benghazi, referme un long et douloureux chapitre dans l’histoire de ce pays, mais marque aussi le début d’une nouvelle ère pendant laquelle les aspirations de son peuple devront être prises pleinement en compte.
Le Secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix des Nations Unies a affirmé, cet après-midi, que des progrès avaient été accomplis dans la mise en œuvre de l’Accord sur l’adoption du Document de Doha pour la paix au Darfour, signé le 14 juillet par le Gouvernement soudanais et le Mouvement pour la libération et la justice (MLJ).
L’Observateur permanent de la Palestine, M. Riyad Mansour, suivi en ce sens par de nombreux orateurs, n’a relevé aucune « contradiction » entre la reprise de négociations directes avec Israël et une suite favorable qui serait donnée à la demande présentée au Secrétaire général de l’ONU par l’Autorité palestinienne, le 23 septembre dernier*.