Plus que jamais divisé sur le dossier syrien, le Conseil de sécurité a, cet après-midi, rejeté un projet de résolution qui exigeait de toutes les parties qu’elles ménagent à la Mission d’établissement des faits de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) et, « le cas échéant », au Mécanisme d’enquête conjoint OIAC-ONU un accès « sans délai et en toute sécurité » pour déterminer les responsabilités dans l’attaque à l’arme chimique présumée perpétrée à Khan Cheikhoun le 4 avril 2017.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité: Aucun nom
« Considérons ce moment de crise -et c’est un moment de crise- comme la possibilité de faire preuve de sérieux dans le processus politique », a déclaré, aujourd’hui, au Conseil de sécurité, l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour la Syrie, en parlant de l’attaque chimique contre la localité de Khan Cheikhoun, en Syrie, la semaine dernière.
Le Conseil de sécurité, qui s’apprête à proroger pour une dernière période de six mois le mandat de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH), a pris acte ce matin des progrès accomplis par cette opération depuis son déploiement il y a 13 ans dans un pays qui vient d’achever avec succès un cycle électoral, sonnant ainsi « le retour à l’ordre constitutionnel ».
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par la Présidente du Conseil de sécurité pour le mois d’avril, Mme Nikki Haley (États-Unis):
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par la Présidente du Conseil de sécurité pour le mois d’avril, Mme Nikki Haley (États-Unis):
Le 8 avril 2017, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) et 2253 (2015) concernant l’EIIL (Daech), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés a radié l’entrée ci-après de la Liste des personnes et entités visées par les sanctions contre l’EILL (Daech) et Al-Qaida.
Le 31 mars 2017, les membres du Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2127 (2013) concernant la République centrafricaine ont entendu un exposé du Groupe d’experts sur la République centrafricaine en rapport avec le programme de travail de ce dernier.
Le 20 mars 2017, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1533 (2004) concernant la République démocratique du Congo a rencontré des représentants de la République démocratique du Congo, de l’Angola, du Burundi, de l’Ouganda, de la République-Unie de Tanzanie et du Rwanda, ainsi que l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour la région des Grands Lacs et le Représentant spécial du Secrétaire général pour la République démocratique du Congo et Chef de la MONUSCO, en application de la résolution 2293 (2016).
Réuni en urgence à la demande de la Bolivie au lendemain du bombardement par les États-Unis d’installations militaires en Syrie, le Conseil de sécurité s’est montré plus que jamais divisé quant à l’action à mener pour mettre fin au conflit qui fait rage dans ce pays depuis six ans.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par la Présidente du Conseil de sécurité pour le mois d’avril, Mme Nikki Haley (États-Unis):