Le Secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix, M. Jean-Pierre Lacroix, a affirmé, cet après-midi, devant le Conseil de sécurité, que « seuls un processus politique ouvert et une réelle volonté politique des acteurs clefs à mettre fin au conflit, et la mise en œuvre de l’Accord de paix, pourraient apporter la paix au Soudan du Sud ».
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Conseil de sécurité: Aucun nom
Le Conseil de sécurité a décidé, cet après-midi, de reconduire jusqu’au 1er juillet 2018 les sanctions concernant la République démocratique du Congo (RDC) et de proroger jusqu’au 1er août 2018 le mandat du Groupe d’experts du Comité 1533 chargé de surveiller l’application des sanctions imposées.
Face à une nouvelle dégradation de la sécurité en Afghanistan, le Gouvernement doit éviter toute mesure qui risquerait de diviser le pays, notamment sur des bases ethniques, et veiller à maintenir la cohésion nationale, y compris en luttant contre la corruption généralisée et les violations des droits de l’homme, a expliqué ce matin devant le Conseil de sécurité M. Tadamichi Yamamoto, Représentant spécial du Secrétaire général et Chef de la Mission d’assistance des Nations Unies en Afghanistan (MANUA).
Par la résolution 2359 (2017), adoptée à l’unanimité ce matin, le Conseil de sécurité « se félicite du déploiement de la Force conjointe du G5 Sahel (FC-G5S) sur l’ensemble du territoire des pays qui y participent, avec des effectifs en personnel militaire et personnel de police pouvant aller jusqu’à 5 000 personnes, en vue de rétablir la paix et la sécurité dans la région du Sahel ».
Le 20 juin 2017, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) et 2253 (2015)concernant l’EIIL (Daech), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés a promulgué les modifications spécifiées par les biffures et les soulignements dans les entrées ci-dessous dans la Liste des individus et entités faisant l’objet de sanctions –gel des avoirs, interdiction de voyager et embargo sur les armes– conformément au paragraphe 2 de la résolution 2253 (2015) du Conseil de sécurité adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies.
La sécurité au Burundi reste instable, la situation socioéconomique se dégrade, et la récente décision des autorités de mettre en place une commission de révision de la Constitution dans un contexte de fortes restrictions aux libertés civiles risque de provoquer une escalade dans la crise, a averti aujourd’hui le Sous-Secrétaire général aux affaires politiques, M. Tayé-Brook Zerihoun.
La solution des deux États vivant côte-à-côte en paix et en sécurité est le seul moyen de mettre fin au conflit israélo-palestinien et de parvenir à une paix durable, ont rappelé ce matin plusieurs membres du Conseil de sécurité, à la suite du Coordonnateur spécial pour le processus de paix au Moyen-Orient, M. Nickolay Mladenov.
La Commission de consolidation de la paix (CCP), de par son rôle fédérateur et sa composition diversifiée, peut apporter des conseils précieux aux organes principaux des Nations Unies et renforcer une approche cohérente du système onusien en faveur de la consolidation et de la pérennisation de la paix, ont expliqué ce matin, devant le Conseil de sécurité, le Président en exercice de la Commission, M. Cho Tae-Yul (République de Corée), et son prédécesseur, M. Macharia Kamau (Kenya).
Le 16 juin 2017, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) et 2253 (2015) concernant l’EIIL (Daech), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés a approuvé l’inscription de l'entrée ci-après sur la Liste des individus et entités associés à ISIL (Daech)et Al-Qaida faisant l’objet de sanctions –gel des avoirs, interdiction de voyager et embargo sur les armes– conformément au paragraphe 2 de la résolution 2253 (2015) du Conseil de sécurité adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies:
Près de deux ans après la signature de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali, et alors que la période transitoire touche à sa fin, en juin, le Mali se trouve de nouveau à un tournant, a expliqué au Conseil de sécurité, ce matin, le Représentant spécial du Secrétaire général pour le Mali et Chef de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA), M. Mahamat Saleh Annadif.