Conseil de sécurité: Aucun nom


CS/13231

Le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires et Coordonnateur des secours d’urgence, M. Mark Lowcock, et le Secrétaire général adjoint aux affaires politiques, M. Jeffrey Feltman, ont affirmé, ce matin, devant le Conseil de sécurité, que la résolution 2401 (2018), votée samedi dernier, qui demande une cessation sans délai des hostilités d’au moins 30 jours consécutifs en Syrie pour acheminer de l’aide humanitaire, en particulier dans la Ghouta orientale, n’est pas appliquée. 

CS/13229

Le Conseil de sécurité a adopté ce matin, à l’unanimité, la résolution 2403 (2018) qui fixe la date de l’élection d’un juge pour pourvoir un siège vacant à la Cour internationale de Justice (CIJ): l’élection aura lieu le 22 juin 2018 au cours de séances simultanées du Conseil de sécurité et de l’Assemblée générale.

CS/13228

La Sous-Secrétaire générale aux opérations de maintien de la paix, Mme Bintou Keita, a appelé, cet après-midi, le Conseil de sécurité à privilégier l’appui consacré par la Mission des Nations Unies au Soudan du Sud (MINUSS) au processus politique dans le pays, y voyant un moyen de protéger les civils, dont plusieurs dizaines de milliers sont morts depuis le début du conflit en 2013.

CS/13227

L’Envoyé spécial du Secrétaire général pour le Yémen, M. Ismail Ould Cheikh Ahmed, a assuré, ce matin devant le Conseil de sécurité, où il intervenait pour la dernière fois en cette qualité, que la « seule chose qui manque » pour mettre fin au conflit dans ce pays en proie à la « pire crise humanitaire au monde causée par l’homme », « c’est l’engagement des parties à faire des concessions et à accorder la priorité à l’intérêt national ».

CS/13225

Le Conseil de sécurité a, cet après-midi, reconduit jusqu’au 26 février 2019 les sanctions applicables aux personnes ou entités qui entravent la réussite de la transition politique au Yémen, empêchent la mise en œuvre des décisions prises par la Conférence de dialogue national sans exclusive ou encore commettent, commanditent ou préparent des actes violant les droits de l’homme ou le droit international humanitaire dans le pays. 

CS/13224

Tout en reconnaissant au Burundi le droit souverain de modifier sa Constitution, M. Michel Kafando, Envoyé spécial du Secrétaire général, a « précisé » ce matin, devant le Conseil de sécurité, les préoccupations exprimées par celui-ci sur les enjeux du référendum prévu le 18 mai dans son rapport