En cours au Siège de l'ONU

Conseil de sécurité: Aucun nom


CS/13783

Moins d’une semaine après le renversement de l’ex-Président soudanais Omar El-Béchir par l’armée du pays, le Représentant spécial de l’ONU et de l’Union africaine (UA) au Darfour a mis en garde, ce matin, le Conseil de sécurité contre « l’impact évident » de la crise nationale actuelle sur le Darfour, alors même que l’Opération de paix qu’il y dirige a entamé une phase de retrait.

SC/13784

Le 17 avril 2019, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) et 2253 (2015) concernant l’EIIL (Daech), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés a promulgué les modifications spécifiées par les biffures et les soulignements dans l’entrée ci-dessous sur sa Liste des individus et entités faisant l’objet de sanctions:

CS/13780

L’Envoyé spécial des Nations Unies pour le Yémen, M. Martin Griffiths, a indiqué aujourd’hui devant le Conseil de sécurité que la mise en œuvre de l’Accord de Stockholm tarde à se concrétiser, en dépit de l’engagement des parties au conflit à aller de l’avant avec la première phase du plan de redéploiement des forces à Hodeïda

SC/13779

 Le 13 avril 2019, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) et 2253 (2015) concernant l’EIIL (Daech), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés a radié l’entrée ci‑dessous de la Liste relative aux sanctions contre l’EIIL (Daech) et Al-Qaida.

CS/13776

Ce matin, le Conseil de sécurité a unanimement décidé* de proroger jusqu’au 15 octobre 2019 le soutien apporté par la Force intérimaire de sécurité des Nations Unies pour Abyei (FISNUA) au Mécanisme conjoint de vérification et de surveillance de la frontière entre le Soudan et le Soudan du Sud.

CS/13778

Le Représentant du Secrétaire général en Colombie a fait part au Conseil de sécurité, ce matin, de sa préoccupation face à « l’incertitude » qui entoure actuellement le processus de paix, en raison du manque de visibilité sur le statut des anciennes zones de conflit, de la lenteur dans la réintégration des ex-combattants, de l’insécurité grandissante et des divisions sur la justice transitionnelle.  Sans aller jusqu’à nier l’ampleur des défis, le Ministre colombien des affaires étrangères a dit aborder la conjoncture actuelle avec « optimisme ».