Le 6 septembre 2019, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2127 (2013) concernant la République centrafricaine a adopté les modifications (indiquées par du texte souligné) apportées à l’entrée ci-après de la liste des personnes et entités visées par le gel des avoirs et l’interdiction de voyager, prévus aux paragraphes 9 et 16 de la résolution 2399 (2018) du Conseil de sécurité et reconduits en application de la résolution 2454 (2019), adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies:
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité: Aucun nom
À sa troisième séance officielle, le 30 août 2019, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1970 (2011) concernant la Libye s’est entretenu avec des représentants de la Libye, de l’Algérie, de l’Arabie saoudite, de Bahreïn, de Chypre, de l’Égypte, des Émirats arabes unis, de la Grèce, de l’Italie, de la Jordanie, du Liban, du Mali, de Malte, du Maroc, du Niger, d’Oman, du Qatar, de la République arabe syrienne, du Soudan, du Tchad, de la Tunisie et de la Turquie auprès de l’Organisation des Nations Unies, en vue de renforcer le dialogue sur la bonne application des mesures de sanction concernant la Libye (embargo sur les armes, interdiction de voyager, gel des avoirs et mesures relatives aux tentatives d’exportation illicite de pétrole) imposées par le Conseil.
Le 23 août 2019, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2140 (2014) a examiné, dans le cadre de consultations, le bilan à mi-parcours que le Groupe d’experts lui a présenté en application du paragraphe 6 de la résolution 2456 (2019).
Le 30 juillet 2019, le Groupe d’experts sur la République centrafricaine reconduit dans son mandat par la résolution 2454 (2019) a présenté son rapport à mi-parcours au Président du Conseil de sécurité (S/2019/608), lequel est disponible à l’adresse suivante: https://undocs.org/fr/S/2019/608.
Lors d’une réunion sur la Libye, au cours de laquelle seuls huit des 15 membres du Conseil de sécurité se sont exprimés, le haut responsable de l’ONU dans le pays a exhorté le Conseil à surmonter ses divisions pour éviter que le conflit libyen ne dégénère en guerre « fratricide », en soutenant davantage les perspectives de cessez—le-feu prolongé ouvertes par la trêve humanitaire du mois d’août.
Outre la situation au Moyen-Orient et le possible renforcement du régime de sanctions contre la Libye, le programme de travail du Conseil de sécurité pour le mois de septembre sera marqué par la tenue de deux réunions ministérielles, dont un débat consacré à la coopération entre les Nations Unies et les organisations régionales et sous-régionales dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales, un sujet particulièrement cher à la Fédération de Russie, qui préside l’organe ces quatre prochaines semaines.
Dans une déclaration rendue publique aujourd’hui par sa Présidente et Représentante permanente de la Pologne, Mme Joanna Wronecka, le Conseil de sécurité se déclare « profondément » préoccupé par l’escalade de la violence dans tout le Yémen et particulièrement par l’évolution récente de la situation dans le sud du pays.
Alors que l’on assiste à une nouvelle escalade de la violence dans le nord-ouest de la Syrie, synonyme de lourd bilan humanitaire, l’Envoyé spécial du Secrétaire général a laissé entendre, aujourd’hui, devant le Conseil de sécurité, que la convocation d’un comité constitutionnel « crédible, équilibré et inclusif », première étape d’un processus politique plus large, pourrait intervenir dans les prochaines semaines, à la faveur des avancées dans les négociations intrasyriennes en cours à Genève
Le Conseil de sécurité a décidé aujourd’hui de proroger d’un an, jusqu’au 31 août 2019, le mandat de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), « dont le déploiement aux côtés de l’Armée libanaise a contribué à créer un nouvel environnement stratégique dans le sud du Liban »
Le 29 juillet 2019, Mme Virginia Gamba, Représentante spéciale du Secrétaire général pour le sort des enfants en temps de conflit armé, et Mme Pramila Patten, Représentante spéciale du Secrétaire général chargée de la question des violences sexuelles commises en période de conflit, ont présenté des exposés au Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2127 (2013) concernant la République centrafricaine et au Groupe de travail sur le sort des enfants en temps de conflit armé.