La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, s’est penchée, aujourd’hui, sur le mercenariat et l’élimination de la discrimination raciale au cours d’une série de dialogues virtuels pendant lesquels l’impact de la pandémie de COVID-19 et des violences policières sur les personnes d’ascendance africaine a été mis en exergue à plusieurs reprises.
En cours au Siège de l'ONU
Communiqués de presse
La déclaration suivante a été communiquée, aujourd’hui, par le Porte-parole de M. António Guterres, Secrétaire général de l’ONU:
Le 2 novembre 2020, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1533 (2004) concernant la République démocratique du Congo a modifié l’entrée correspondant à la personne ci-après sur la liste des personnes et entités visées par le gel des avoirs et l’interdiction de voyager, prévus aux paragraphes 1 à 6 de la résolution 2293 (2016) du Conseil de sécurité et reconduits en application du paragraphe 1 de la résolution 2528 (2020), adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies:
La déclaration suivante a été communiquée, aujourd’hui, par le Porte-parole adjoint de M. António Guterres, Secrétaire général de l’ONU:
En raison de la pandémie de COVID-19, la trentième Réunion des États parties à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer, qui devait initialement se tenir au Siège des Nations Unies du 15 au 19 juin 2020, avait été reportée du 24 au 26 août 2020.
La déclaration suivante a été communiquée, aujourd’hui, par le Porte-parole de M. António Guterres, Secrétaire général de l’ONU:
La Première Commission (désarmement et questions de sécurité internationale) a tenu, ce matin, sa troisième et dernière séance virtuelle, consacrée à l’audition de plusieurs dirigeants d’organismes constitutifs du mécanisme de désarmement de l’ONU.
Cet après-midi, le Conseil de sécurité n’a pas réussi à s’entendre sur l’adoption d’une résolution destinée à commémorer le vingtième anniversaire de la première résolution du Conseil sur « Les femmes et la paix et la sécurité », à savoir la résolution 1325 (2000).
La pandémie de COVID-19 se révèle être « non seulement une crise sanitaire mais aussi une crise majeure des droits de l’homme », ce qui a de fortes répercussions sur les travaux des organes et mécanismes afférents de l’ONU, lesquels continuent néanmoins d’agir malgré les difficultés, a souligné, aujourd’hui, la Présidente du Conseil des droits de l’homme (CDH), lors d’un dialogue virtuel nourri avec les membres de la Troisième Commission.
La déclaration suivante a été communiquée, aujourd’hui, par le Porte-parole de M. António Guterres, Secrétaire général de l’ONU: