En cours au Siège de l'ONU

Conseil de sécurité


SC/12707

Le 30 janvier 2017, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1533 (2004) concernant la République démocratique du Congo a rencontré des représentants de la République démocratique du Congo, du Burundi, de l’Ouganda, de la République-Unie de Tanzanie, du Rwanda et du Soudan du Sud.

SC/12705

Le 3 février 2017, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) et 2253 (2015)concernant l’EIIL (Daech), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés a radié l’entrée ci-après de la Liste des personnes et entités visées par les sanctions contre l’EILL (Daech) et Al-Qaida.

Conf170201-CS

Aussi bref que chargé, le mois de février sera pour le Conseil de sécurité l’occasion de braquer le projecteur sur les conflits en Europe, qui feront l’objet, au niveau ministériel, d’un débat thématique inédit, a annoncé, ce soir en conférence de presse, le Représentant permanent de l’Ukraine auprès des Nations Unies, M. Volodymyr Yelchenko, qui assurera la présidence mensuelle de l’organe chargé du maintien de la paix et de la sécurité internationales.

SC/12699

Le 25 janvier 2017, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2127 (2013) concernant la République centrafricaine a tenu, avec les représentants de l’Afrique du Sud, du Cameroun, de l’Éthiopie, du Kenya, de l’Ouganda, de la République centrafricaine, de la République du Congo, de la République démocratique du Congo, du Soudan et du Tchad, une séance consacrée au rapport final du Groupe d’experts, publié le 5 décembre 2016 sous la cote S/2016/1032.

CS/12697

Le Conseil de sécurité a prorogé, aujourd’hui, jusqu’au 31 janvier 2018 l’embargo sur les armes imposé à la République centrafricaine ainsi que l’interdiction de voyager et le gel des avoirs infligés aux personnes ou entités désignées par son Comité des sanctions, lequel continuera d’être aidé par le Groupe d’experts* dont le mandat a été prorogé jusqu’au 28 février 2018.  Le représentant de la République centrafricaine a accueilli ces mesures comme « un mal nécessaire », compte tenu de la menace très présente de groupes « bien armés ».