Le 13 mars 2019, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) et 2253 (2015) concernant l’EIIL (Daech), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés a promulgué les modifications spécifiées par les biffures et les soulignements
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
Le 13 mars 2019, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1518 (2003) a approuvé le retrait des entités ci-après de la Liste des personnes et entités visées par le gel des avoirs prévu aux paragraphes 19 et 23 de la résolution 1483 (2003) du Conseil de sécurité, adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies.
La Haute Représentante de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité a lancé, ce matin, devant le Conseil de sécurité, un fervent appel en faveur du multilatéralisme, déclarant que l’Union européenne (UE) investit dans sa coopération avec le système de l’ONU « comme jamais auparavant », « car nous voulons assumer notre part de responsabilité dans notre maison commune ».
Alors qu’il vient de connaître son année la plus meurtrière depuis 2001, l’Afghanistan est à nouveau confronté à des défis de taille, à commencer par la tenue, dans les délais impartis, de l’élection présidentielle en juillet prochain, a expliqué, ce matin au Conseil de sécurité, le Représentant spécial du Secrétaire général.
Malgré les insuffisances de sa mise en œuvre, l’Accord revitalisé sur le règlement du conflit « tient toujours » et reste le meilleur moyen d’entériner la paix au Soudan du Sud, a estimé le Représentant spécial du Secrétaire général pour ce pays, M. David Shearer, qui a tenu à rappeler qu’il n’existe pas de plan B, « seulement un plan A ».
Le 22 février 2019, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2127 (2013) concernant la République centrafricaine a tenu des consultations afin d’examiner le deuxième rapport d’étape du Groupe d’experts, établi conformément aux dispositions du paragraphe 32 d) de la résolution 2399 (2018).
Le Président en exercice de l’OSCE a lancé, ce matin, devant le Conseil de sécurité, un véritable appel en faveur d’un multilatéralisme « efficace », s’inquiétant du fait que le monde « semble commencer à oublier » le rôle extrêmement important de « cet outil fondamental pour la résolution des problèmes et le règlement des conflits ».
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de mars, François Delattre (France):
Le 1er mars 2019, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2127 (2013) concernant la République centrafricaine a adopté les modifications (indiquées par du texte biffé ou souligné) apportées aux entrées ci-après de la liste des personnes et entités visées par le gel des avoirs et l’interdiction de voyager, prévus aux paragraphes 9 et 16 de la résolution 2399 (2018) du Conseil de sécurité, adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies:
Pour la première fois dans l’histoire du Conseil de sécurité, deux de ses membres, la France et l’Allemagne, ont décidé de coordonner étroitement les priorités de leur présidence successive afin d’insuffler un nouvel élan au multilatéralisme et de dégager une démarche commune des méthodes de travail de l’organe chargé du maintien de la paix et de la sécurité internationales.