LA DEUXIEME COMMISSION INVITE À LA COOPÉRATION INTERNATIONALE POUR ATTÉNUER LES EFFETS DU PHÉNOMÈNE EL NIÑO
Communiqué de Presse
AG/EF/251
LA DEUXIEME COMMISSION INVITE À LA COOPÉRATION INTERNATIONALE POUR ATTÉNUER LES EFFETS DU PHÉNOMÈNE EL NIÑO
19971117 Elle a adopté un projet de résolution à cet effet et six autres sur l'environnement et le développement durable et le commerce et le développementLa Deuxième Commission (économique et financière) a entendu cet après- midi la présentation de sept projets de résolution, tous présentés par la République-Unie de Tanzanie au nom du Groupe des 77 et la Chine. Trois des projets concernent le point intitulé "Commerce et développement" et selon les termes de l'un, l'Assemblée générale réaffirmerait le rôle joué par la CNUCED en tant qu'organisme de coordination au sein des Nations Unies pour l'examen intégré des questions touchant le développement et des questions connexes. Elle soulignerait la nécessité d'une intégration complète de l'économie des pays en développement, en particulier celle des pays les moins avancés et des pays en transition, notamment grâce à une plus grande ouverture des marchés à leurs exportations. Elle insisterait sur la nécessité d'appliquer pleinement aux pays en développement le traitement préférentiel spécial prévu par les accords du Cycle d'Uruguay. Elle déplorerait toute tentative visant à éluder ou à saper les procédures du commerce international convenues au plan multilatéral, et affirmerait que les préoccupations d'ordre écologique et social ne doivent pas être utilisées à des fins protectionnistes.
L'Assemblée générale demanderait aux gouvernements, aux différentes institutions des Nations Unies, ainsi qu'aux organisations intergouvernementales et non gouvernementales, de prendre des mesures concrètes pour mettre en oeuvre intégralement et immédiatement le nouvel Ordre du jour des Nations Unies pour le développement de l'Afrique dans les années 90.
L'un des deux autres projets porte sur les mesures économiques utilisées pour exercer une pression politique et économique sur les pays en développement. Aux termes de ce projet, l'Assemblée générale engagerait instamment la communauté internationale à prendre d'urgence des mesures efficaces pour empêcher que certains pays développés ne prennent unilatéralement à l'encontre des pays en développement des mesures économiques coercitives qui ne sont pas autorisées par les organes compétents de l'ONU ou sont contraires aux principes énoncés dans la Charte des Nations Unies, dans
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le but d'imposer par la force la volonté d'un État à un autre. Aux termes du second, relatif à l'action spécifique en rapport avec les besoins et problèmes des pays en développement sans littoral, l'Assemblée générale réaffirmerait que les pays en développement sans littoral ont le droit d'accès à la mer et depuis la mer ainsi que la liberté de transit à travers le territoire des États de transit par tous les moyens de transport, conformément au droit international, et elle engagerait de nouveau tous les États, les organisations internationales et les institutions financières à appliquer d'urgence et à titre prioritaire les mesures spécifiques en rapport avec les besoins et problèmes particuliers des pays en développement sans littoral. L'Assemblée prierait le Secrétaire général de convoquer en 1999, dans la limite des ressources globales disponibles, une autre réunion d'experts gouvernementaux de pays en développement sans littoral et de transit et de représentants de donateurs.
Les quatre autres projets de résolution sont relatifs à l'environnement et au développement durable.
Aux termes du projet relatif à l'application de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la désertification, en particulier en Afrique, l'Assemblée générale approuverait le rattachement institutionnel du secrétariat de la Convention à l'Organisation des Nations Unies tel qu'il a été proposé. Elle noterait avec satisfaction que la Conférence des Parties a, à sa première session, décidé que le Fonds international de développement agricole abriterait le Mécanisme mondial et inviterait celui-ci à coopérer pleinement avec le Programme des Nations Unies pour le développement et la Banque mondiale.
Aux termes du projet de résolution relatif à la Coopération internationale pour l'atténuation des effets du phénomène El Niño, présenté également par le Mexique, l'Assemblée générale prierait instamment les organismes compétents du système des Nations Unies, agissant dans le cadre de la Décennie internationale de la prévention des catastrophes naturelles, d'apporter leur concours à l'élaboration d'une approche et d'une étude globale d'El Niño et d'intensifier leur coopération avec les régions où il sévit, en particulier les pays en développement, les petits États insulaires et les pays sans littoral.
Aux termes du projet de résolution relatif à la Convention sur la diversité biologique, l'Assemblée générale demanderait aux États Membres qui sont parties à la Convention de s'acquitter dès que possible de leurs obligations concernant la présentation, au plus tard le 1er janvier 1998, des premiers rapports nationaux des États parties visés à l'article 26 de la Convention.
Le quatrième projet de résolution porte sur la protection du climat mondial pour les générations présentes et futures.
La prochaine réunion de la Deuxième Commission aura lieu mercredi après- midi.
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QUESTIONS DE POLITIQUE MACRO-ECONOMIQUE
Présentation de projets de résolution
Aux termes du projet de résolution A/C.2/52/L.24, présenté par la République de la Tanzanie au nom du Groupe des 77 et la Chine, et relatif au commerce international et au développement, l'Assemblée générale réaffirmerait le rôle joué par la CNUCED en tant qu'organisme de coordination au sein des Nations Unies pour l'examen intégré des questions touchant le développement et des questions connexes dans les domaines du commerce, des ressources financières, de la technologie, de l'investissement et du développement durable; elle se féliciterait de la convocation en 1998 d'une réunion spéciale d'examen de haut niveau, qui contribuera aux préparatifs de la dixième session de la Conférence devant avoir lieu en Thaïlande en l'an 2000; elle prierait la CNUCED de continuer, sur la base des conclusions de sa neuvième session, à déterminer et à analyser les incidences sur le développement des questions ayant trait aux investissements, en tenant compte des intérêts des pays en développement, et à continuer à mettre en évidence les perspectives nouvelles ouvertes par la mise en oeuvre des accords issus du Cycle d'Uruguay et à aider les pays en développement à participer efficacement aux négociations commerciales multilatérales;
L'Assemblée générale soulignerait la nécessité d'une intégration complète de l'économie des pays en développement, en particulier celle des pays les moins avancés et des pays en transition, à l'économie mondiale, notamment grâce à une plus grande ouverture des marchés à leurs exportations; elle rappellerait la nécessité de continuer à libéraliser les échanges qui intéressent les marchés d'exportation des pays en développement, notamment au moyen d'une réduction importante des tarifs douaniers et autres obstacles au commerce, en particulier les barrières non tarifaires, et la nécessité d'éliminer les traitements discriminatoires et les pratiques protectionnistes dans les relations commerciales internationales;
l'Assemblée générale soulignerait que tous les membres de l'OMC devraient honorer intégralement, rapidement, scrupuleusement et constamment les engagements qu'ils ont contracté au titre des accords du Cycle d'Uruguay et que toutes les dispositions de l'Acte final reprenant les résultats des négociations commerciales multilatérales d'Uruguay devraient être dûment appliquées; elle insisterait à nouveau à cet égard sur la nécessité d'appliquer pleinement aux pays en développement le traitement préférentiel spécial prévu par les accords du Cycle d'Uruguay; elle soulignerait l'importance de renforcer le système commercial international pour qu'il parvienne à une plus grande universalité, mais déplorerait toute tentative visant à éluder ou à saper, au moyen d'actions unilatérales dépassant le cadre de celles qui ont été convenues au cours du Cycle d'Uruguay, les procédures du commerce international convenues au plan multilatéral, et affirmerait que les préoccupations d'ordre écologique et social ne doivent pas être utilisées à des fins protectionnistes;
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L'Assemblée générale demanderait aux gouvernements, aux différentes institutions des Nations Unies, ainsi qu'aux organisations intergouvernementales et non gouvernementales, de prendre des mesures concrètes pour mettre en oeuvre intégralement et immédiatement le nouvel Ordre du jour des Nations Unies pour le développement de l'Afrique dans les années 90, y compris les mesures et les recommandations convenues à l'occasion de l'examen à mi-parcours, notamment celles qui ont trait au commerce et au développement; elle inviterait la CNUCED, la Banque mondiale et le Programme des Nations Unies pour le développement à améliorer la collaboration entre les programmes de pays de la Conférence destinés aux pays les moins avancés et le dialogue macro-économique et sectoriel d'ensemble visant ces pays; elle soulignerait que les pays en développement doivent participer pleinement et plus efficacement à l'élaboration de règles et à la fixation de normes dans le cadre du système commercial international et que les gouvernements, ainsi que les organisations internationales, devraient leur apporter une assistance technique pour leur permettre d'y participer plus efficacement. L'Assemblée générale soulignerait également la nécessité d'assurer pleinement, avec l'appui de la communauté internationale, le suivi effectif de la Déclaration et du Programme d'action adoptés par la Conférence Sud-Sud sur les questions financières, le commerce et les investissements qui s'est tenue à San José en janvier 1997.
Aux termes du projet de résolution A/C.2/52/L.23, présenté par la République-Unie de Tanzanie au nom du Groupe des 77 et la Chine, et relatif aux mesures économiques utilisées pour exercer une pression politique et économique sur les pays en développement, l'Assemblée générale engagerait instamment la communauté internationale à prendre d'urgence des mesures efficaces pour empêcher que certains pays développés ne prennent unilatéralement à l'encontre des pays en développement des mesures économiques coercitives qui ne sont pas autorisées par les organes compétents de l'Organisation des Nations Unies ou sont contraires aux principes énoncés dans la Charte des Nations Unies, dans le but d'imposer par la force la volonté d'un État à un autre.
Aux termes du projet de résolution A/C.2/52/L.26, présenté par la République-Unie de Tanzanie au nom du Groupe des 77 et la Chine, et relatif à l'action spécifique en rapport avec les besoins et problèmes des pays en développement sans littoral, l'Assemblée générale réaffirmerait que les pays en développement sans littoral ont le droit d'accès à la mer et depuis la mer ainsi que la liberté de transit à travers le territoire des États de transit par tous les moyens de transport, conformément au droit international; elle engagerait de nouveau tous les États, les organisations internationales et les institutions financières à appliquer d'urgence et à titre prioritaire les mesures spécifiques en rapport avec les besoins et problèmes particuliers des pays en développement sans littoral qui sont prévues dans les résolutions et déclarations adoptées par l'Assemblée générale et dans les documents finaux des grandes conférences récentes;
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L'Assemblée générale se féliciterait de la convocation de la première réunion consultative sous-régionale des pays d'Asie du Nord-Est sur la coopération en matière de transport en transit qui s'est déroulée à Oulan- Bator du 20 au 22 mai 1997, et approuverait le Mémorandum d'accord d'Oulan- Bator adopté à ladite réunion; elle inviterait les pays donateurs et les institutions multilatérales de financement et de développement à apporter aux pays en développement sans littoral et de transit une aide financière et une assistance technique appropriées, sous la forme de dons ou de prêts concessionnels, pour construire, entretenir ou améliorer leurs installations de transport, de stockage et de transit et pour prévoir des itinéraires de rechange et améliorer les communications; elle inviterait le PNUD à renforcer encore son appui dans les secteurs des transports et des communications et à renforcer ses activités de coopération technique pour le développement;
L'Assemblée générale prierait le Secrétaire général de convoquer en 1999, dans la limite des ressources globales disponibles pour l'exercice biennal 1998-1999, une autre réunion d'experts gouvernementaux de pays en développement sans littoral et de transit et de représentants de pays donateurs, d'institutions financières et d'organismes de développement chargée d'examiner les progrès réalisés dans le développement des systèmes de transit. Elle prierait le Secrétaire général de la CNUCED de mobiliser des contributions volontaires pour assurer la participation de représentants de pays en développement sans littoral et de transit à la réunion; elle inviterait le Secrétaire général de l'ONU à prendre, en consultation avec le Secrétaire général de la CNUCED, les mesures voulues pour assurer la mise en oeuvre efficace des activités prescrites dans la présente résolution et de renforcer la capacité du Bureau du Coordonnateur spécial pour les pays en développement les moins avancés, sans littoral ou insulaires de la CNUCED.
ENVIRONNEMENT ET DEVELOPPEMENT DURABLE
Présentation de projets de résolution
Aux termes du projet de résolution A/C.2/52/L.22, présenté par la République-Unie de Tanzanie au nom du Groupe des 77 et la Chine et relatif à l'application de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la désertification, en particulier en Afrique, l'Assemblée générale approuverait le rattachement institutionnel du secrétariat de la Convention à l'Organisation des Nations Unies tel qu'il a été proposé par le Secrétaire général et adopté par la Conférence des Parties à sa première session. Elle prierait le Secrétaire général de revoir le fonctionnement de ce rattachement institutionnel le 31 décembre 2002 au plus tard, en consultation avec la Conférence des Parties.
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L'Assemblée noterait avec satisfaction que la Conférence des Parties a, à sa première session, décidé que le Fonds international de développement agricole abriterait le Mécanisme mondial et inviterait celui-ci à coopérer pleinement avec le Programme des Nations Unies pour le développement et la Banque mondiale. Elle prierait instamment tous les gouvernements et organisations compétentes, ainsi que les organisations non gouvernementales et les entreprises privées, d'appuyer activement les activités du Mécanisme mondial et de verser au plus tôt des contributions volontaires, de sorte qu'il puisse commencer à fonctionner au 1er janvier 1998.
L'Assemblée demanderait à tous les pays qui ne sont pas parties à la Convention de prendre les mesures appropriées pour la ratifier, l'accepter, l'approuver ou y adhérer. Elle prierait instamment tous les États qui sont parties à la Convention de verser rapidement et intégralement, le 1er mois de chaque année, à compter du 1er janvier 1999, les contributions nécessaires au budget de base de la Convention prévues par les règles de gestion financière. Elle inviterait tous les pays, en particulier les pays développés, ainsi que les organisations non gouvernementales et les entreprises privées à verser des contributions généreuses au Fonds d'affectation spéciale et au Fonds bénévole spécial.
L'Assemblée générale ferait sienne la décision de la Conférence des Parties tendant à convoquer sa deuxième session au cours du dernier trimestre de 1998 et saurait gré au Gouvernement sénégalais d'avoir généreusement proposé d'accueillir à Dakar la deuxième session de la Conférence des Parties à la Convention.
Aux termes du projet de résolution A/C.2/52/L.21, présenté par la République-Unie de Tanzanie au nom du Groupe des 77 et la Chine et relatif à la protection du climat mondial pour les générations présentes et futures, l'Assemblée générale déciderait de maintenir les dispositions relatives aux questions de personnel et aux questions financières qui ont été mises en place concernant l'appui administratif au secrétariat de la Convention, comme il est noté dans la résolution 51/184. Elle déciderait également d'inscrire au calendrier des conférences et réunions de l'exercice biennal 1998-1999 les sessions de la Conférence des Parties et de ses organes subsidiaires nécessitant des services de conférence pendant huit semaines, qui sont envisagées pour cet exercice biennal.
Aux termes du projet de résolution A/C.2/52/L.20, présenté par la République-Unie de Tanzanie au nom du Groupe des 77 et la Chine ainsi que par le Mexique et relatif à la coopération internationale pour l'atténuation des effets du phénomène El Niño, l'Assemblée générale approuverait les efforts déployés aux échelons national, régional et sous-régional par les pays où sévit El Niño, en particulier ceux d'entre eux qui sont en voie de développement, pour atténuer les effets de ce phénomène. L'Assemblée prierait instamment le Secrétaire général de promouvoir la création d'un mécanisme de coopération globale internationale, prévoyant un dispositif d'alerte rapide,
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ainsi que l'élaboration de stratégies à long terme qui permettraient de prévenir les dégâts causés par El Niño, de les atténuer et d'y remédier. Elle prierait instamment les organismes compétents du système des Nations Unies, agissant dans le cadre de la Décennie internationale de la prévention des catastrophes naturelles, d'apporter leur concours à l'élaboration d'une approche et d'une étude globale d'El Niño et d'intensifier leur coopération avec les régions où il sévit, en particulier les pays en développement, les petits États insulaires et les pays sans littoral.
L'Assemblée générale inviterait les États, les organisations intergouvernementales et tous ceux qui participent à la Décennie internationale de la prévention des catastrophes naturelles à fournir aux pays en développement une assistance technique et financière pour soutenir les travaux de recherche et les systèmes d'observation à l'échelle mondiale et régionale, y compris la diffusion de données sur El Niño, afin de prévenir les effets préjudiciables de ce phénomène, de les atténuer et d'y remédier. Elle prierait le Secrétaire général de promouvoir l'organisation d'une réunion intergouvernementale d'experts et de chercheurs afin de faciliter les échanges d'informations et de données d'expérience acquises dans les pays en ce qui concerne la surveillance d'El Niño et les stratégies qui permettraient d'en atténuer les effets. Elle prierait instamment le Secrétaire général d'étendre au phénomène d'El Niño et à ses conséquences les activités entreprises dans le cadre de la Décennie internationale de la prévention des catastrophes naturelles. Elle demanderait que les propositions en vue de l'élaboration de mécanismes internationaux efficaces et coordonnés d'alerte rapide aux risques associés à l'apparition périodique d'El Niño soient intégrées à la mise en oeuvre du Cadre international d'action pour la Décennie et de la Stratégie de Yokohama et de son Plan d'action.
Aux termes du projet de résolution A/C.2/52/L.25, présenté par la République-Unie de Tanzanie au nom du Groupe des 77 et la Chine et relatif à la Convention sur la diversité biologique, l'Assemblée générale, se féliciterait des résultats obtenus lors de la troisième réunion de la Conférence des Parties à la Convention sur la diversité biologique, tenue à Buenos Aires du 4 au 15 novembre 1996, et engagerait les États qui ne l'ont pas encore fait à ratifier dès que possible la Convention. Elle demanderait instamment aux donateurs bilatéraux et multilatéraux de coopérer avec le secrétariat de la Convention pour mettre en oeuvre la décision III/6 de la Conférence des Parties.
L'Assemblée générale demanderait aux États Membres qui sont parties à la Convention de s'acquitter dès que possible de leurs obligations concernant la présentation, au plus tard le 1er janvier 1998, des premiers rapports nationaux des États parties visés à l'article 26 de la Convention. Elle leur demanderait de régler d'urgence leurs arriérés et de verser leurs contributions intégralement et ponctuellement.
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