Ce matin, le Secrétaire général a fait une déclaration à une manifestation spéciale organisée, au Siège de l’ONU, à New York, en prévision de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes. M. Guterres a déclaré que la violence à l’égard des femmes et des filles est une pandémie mondiale, une marque de honte sur toutes nos sociétés et un obstacle majeur à un développement durable, inclusif et équitable.
En cours au Siège de l'ONU
République démocratique du Congo
Le Département des opérations de maintien de la paix a indiqué que six Casques bleus malawiens et un Casque bleu tanzanien de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO), ont été assassinés hier, dans le territoire de Beni, au Nord-Kivu. Cette zone est actuellement en proie à une irruption du virus Ebola et l’insécurité a présenté un obstacle pour y apporter une réponse.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de novembre, M. Ma Zhaoxu (Chine):
La déclaration suivante a été communiquée, aujourd’hui, par le Porte-parole de M. António Guterres, Secrétaire général de l’ONU:
En République démocratique du Congo (RDC), à neuf jours du début de la campagne officielle et à moins de six semaines des élections présidentielle et législatives, prévues le 23 décembre, les parties prenantes restent résolument engagées en faveur de ce processus, malgré des divisions persistantes à propos de l’usage de la machine à voter et de la fiabilité du fichier électoral, a déclaré, cet après-midi au Conseil de sécurité, la Représentante spéciale du Secrétaire général pour la République démocratique du Congo (RDC), Mme Leila Zerrougui.
M. Nikolay Mladenov, le Coordonnateur spécial des Nations Unies pour le processus de paix au Moyen-Orient, a dit sur Twitter, aujourd’hui, que les Nations Unies travaillent étroitement avec l’Égypte et toutes les parties intéressées pour s’assurer que Gaza s’éloigne du gouffre.
L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) attire, aujourd’hui, l’attention sur la Caravane des mères des migrants disparus qui traversent, chaque année, le territoire du Mexique à la recherche de leurs enfants qui ont disparu en tentant d’entrer aux États-Unis.
L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), le Programme alimentaire mondial (PAM) et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) ont mis en garde aujourd’hui contre de grandes pertes en vies humaines et économiques en Asie et dans le Pacifique si les pays de la région ne s’engagent pas à mettre fin à toutes les formes de malnutrition et à éliminer la faim d’ici à 2030.
La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) rapporte qu’elle surveille de très près la situation à Batafango, dans la préfecture d’Ouham, où des combattants anti-balaka se sont affrontés avec des ex-Séléka, à la suite de plusieurs incidents survenus hier, où des soldats de la paix ont essuyé des tirs, qui ont légèrement blessé un Casque bleu portugais.
Le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) a déclaré aujourd’hui qu’environ 2 300 enfants voyageaient au sein de la caravane de migrants qui se trouve désormais dans le sud du Mexique. L’agence a averti que ces enfants avaient besoin d’accéder à des services de base, tels que des soins de santé, de l’eau potable et des services d’assainissement des eaux adéquat.