La session de haut niveau 2018 du Conseil économique et social (ECOSOC) s’est achevée, aujourd’hui, en entérinant la Déclaration ministérielle adoptée hier soir par le Forum politique de haut niveau pour le développement durable, après vote sur ce texte et sur plusieurs amendements. L’ECOSOC a auparavant fini son débat général au pas de course pour « avaler » 87 discours d’États Membres et d’autres acteurs œuvrant pour la réalisation du Programme de développement durable à l’horizon 2030
En cours au Siège de l'ONU
Questions d’environnement et de développement durable
Pour la première fois dans l’histoire du Forum politique de haut niveau pour le développement durable, la Déclaration ministérielle* a été mise aux voix et adoptée par 164 voix pour et l’opposition des États-Unis et d’Israël, entérinant ainsi la volonté des ministres et hauts représentants « à faire passer leurs efforts à la vitesse supérieure et à prendre les mesures audacieuses qui sont nécessaires à la mise en œuvre efficace du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et à la construction de sociétés durables et résilientes partout dans le monde, en accordant la priorité aux plus défavorisés et en veillant à ne laisser personne de côté ».
Les États Membres ont aujourd’hui, à la deuxième journée du débat général du Forum politique de haut niveau réuni sous les auspices du Conseil économique et social (ECOSOC), donné des exemples des succès atteints dans la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030, sans pour autant occulter les défis et les problèmes qu’ils rencontrent sur la voie de la réalisation des six objectifs à l’examen pendant cette session.
Les femmes, les jeunes, les groupes vulnérables et les citoyens en général peuvent être décisifs pour la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030, à condition d’avoir des ressources adéquates, ont noté plusieurs intervenants qui prenaient part, ce matin, à l’ouverture du débat de haut niveau de la session 2018 du Conseil économique et social (ECOSOC).
La Réunion du Forum politique de haut niveau pour le développement durable organisée sous les auspices du Conseil économique et social (ECOSOC) a achevé, ce soir, sa première semaine de travaux, l’occasion pour la Présidente du Conseil, Mme Marie Chatardová, et le Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales, M. Liu Zhenmin, de noter l’engagement fort des États Membres et de toutes les parties prenantes au Programme de développement durable à l’horizon 2030.
Pour sa quatrième journée de travaux, le Forum politique de haut niveau pour le développement durable, organisé sous les auspices du Conseil économique et social (ECOSOC), s’est penché sur « l’aspect sombre » de la réalisation des objectifs de développement durable, au cours des trois tables rondes de la journée, en présence des grands groupes et autres parties prenantes.
On trouvera, ci-après, l’allocution de la Vice-Secrétaire générale de l’ONU, Mme Amina J. Mohammed, prononcée lors de la séance du Conseil de sécurité sur la façon de comprendre et gérer les risques de sécurité liés au climat, aujourd’hui
Comprendre et gérer les risques de sécurité liés au climat, c’est ce que le Conseil de sécurité s’est efforcé de faire aujourd’hui, avec l’aide de la Vice-Secrétaire générale de l’ONU, du Ministre iraquien des ressources hydriques, de la représentante du Forum international des populations autochtones sur les changements climatiques et du Président de Nauru.
Le Forum politique de haut niveau pour le développement durable organisé sous les auspices du Conseil économique et social (ECOSOC) a consacré sa troisième journée de travaux à examiner les perspectives des pays les moins avancés, des petits États insulaires en développement, des pays en développement sans littoral et des pays à revenu intermédiaire.
Pour sa deuxième journée de travaux, le Forum politique de haut niveau pour le développement durable organisé sous les auspices du Conseil économique et social (ECOSOC) s’est penché sur les moyens de rendre les sociétés viables et résilientes face aux inévitables chocs politique, économique, climatique ou bien encore face à la « destruction créatrice » découlant des changements technologiques.