Bangladesh: le Coordonnateur des secours d’urgence a alloué 3 millions de dollars du Fonds central pour les interventions d’urgence (CERF) pour soutenir la réponse à la tempête tropicale Mocha. Le cyclone a ravagé à la mi-mai les camps de réfugiés rohingya au Bangladesh et les communautés d’accueil, endommageant ou détruisant les installations et abris de plus de 40 000 réfugiés.
Questions d’environnement et de développement durable
On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la Journée mondiale de l’océan, le 8 juin:
On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, célébrée le 5 juin:
Myanmar: une semaine après le passage du cyclone Mocha à la force dévastatrice, une image des destructions plus claire se dessine maintenant que les agents humanitaires ont élargi leurs opérations dans les zones affectées.
Nigéria: les partenaires humanitaires de l’ONU demandent près de 400 millions de dollars pour prévenir l’aggravation de la faim et de la malnutrition dans les États de Borno, d’Adamawa et de Yobe, dans le nord-est du pays.
On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la Journée internationale de la diversité biologique, célébrée le 22 mai:
Éthiopie: les dernières inondations ont causé des mouvements de populations et des dégâts importants dans le sud et l’est du pays. La région de Somali est la plus affectée avec plus de 35 000 ménages déplacés et plus de 45 pertes en vies humaines. Plus de 23 000 têtes de bétail sont mortes et près de 100 000 hectares de terres agricoles ont été détruits par les inondations.
Le Secrétaire général salue le fait que les parties au conflit au Soudan aient signé la Déclaration d’engagement pour protéger les civils et garantir l’acheminement sécurisé de l’aide humanitaire dans le pays.
Au terme de cinq jours de discussions entre les représentants des États Membres, des organisations multilatérales, de la société civile et du secteur privé, le Forum des Nations Unies sur les forêts (FNUF) a conclu
Haïti: Le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) a indiqué que la violence en Haïti a augmenté le nombre d’enfants qui souffrent de malnutrition grave aigüe. Selon une nouvelle étude sur la nutrition, plus de 115 000 enfants en Haïti devraient montrer, cette année, des signes d’amaigrissement grave, par rapport à 87 000, l’année dernière. La violence en Haïti a limité l’accès des enfants à une nutrition de base, aux soins de santé, à l’eau potable, à l’hygiène et à l’assainissement. En conséquence, dans plusieurs communes de la zone de Port-au-Prince, un enfant sur cinq souffre d’une forme ou l’autre de malnutrition.