Le 20 août 2015, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2127 (2013) concernant la République centrafricaine a approuvé l’inscription des trois personnes et de l’entité dont les noms suivent sur la liste des personnes et entités visées par les mesures imposées aux paragraphes 4 et 7 de la résolution 2196 (2015):
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité: Aucun nom
Depuis la résolution inédite 2151 (2014), l’ONU a-t-elle réellement amélioré son appui aux efforts nationaux de réforme du secteur de la sécurité? C’est ce qu’a demandé aujourd’hui à ses collègues la Représentant permanente du Nigéria et Présidente du Conseil de sécurité pour le mois d’août, Mme Joy Ogwu, touchant là une question « éminemment politique », selon les mots du délégué de l’Espagne. Au cours des 16 derniers mois, le Conseil a adopté pas moins de 20 résolutions portant sur des pays particuliers, confiant à 10 opérations de paix de l’ONU le mandat d’accomplir des tâches d’une diversité croissante liées à cette réforme*.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite aujourd’hui par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’août, Mme Joy Ogwu (Nigéria):
Le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires, M. Stephen O’Brien, a avoué aujourd’hui aux membres du Conseil de sécurité qu’il est revenu « choqué » par les souffrances humaines « presque incompréhensibles » qu’il a vues au Yémen. Quatre Yéménites sur cinq ont besoin d’aide humanitaire et près d’1,5 million de personnes ont fui de chez eux. Plus de 1 000 enfants ont été tués ou blessés et le nombre de jeunes gens recrutés ou utilisés comme combattants ne cesse d’augmenter.
« Je vous parle à un moment où le risque d’escalade est palpable entre Israël et la Palestine », a prévenu aujourd’hui le Secrétaire général adjoint aux affaires politiques lors de sa réunion d’information mensuelle avec le Conseil de sécurité. M. Jeffrey Feltman a parlé d’un mois où l’on a vu des éléments extrémistes commettre des crimes de haine « inconcevables », des actes de représailles répréhensibles, des provocations dans les lieux saints de Jérusalem et une multiplication inquiétante des tirs de roquettes de Gaza vers Israël.
Le 18 août 2015, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999) et 1989 (2011) concernant Al-Qaida et les personnes et entités qui lui sont associées a radié l’entrée ci-après de la Liste des personnes et entités visées par les sanctions contre Al-Qaida à l’issue de l’examen par le Comité de la demande de radiation présentée par ce requérant par le biais du Médiateur créé par la résolution 1904 (2009), et après son examen du rapport d’ensemble du Médiateur sur cette demande.
« Mon message est simple: les Nations Unies partagent de plus en plus la responsabilité du maintien de la paix et de la sécurité avec les organisations régionales », a déclaré d’emblée le Secrétaire général de l’ONU au Conseil de sécurité qui, à l’initiative de sa Présidente pour le mois d’août et Représentante permanente du Nigéria, examinait aujourd’hui le rôle de ces organisations face aux défis contemporains en matière de sécurité mondiale.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite aujourd’hui par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’août, Mme Joy Ogwu (Nigéria):
Le 17 août 2015, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999) et 1989 (2011) concernant Al-Qaida et les personnes et entités qui lui sont associées a promulgué les modifications spécifiées par les biffures et les soulignements dans les entrées ci-dessous dans la Liste des individus et entités faisant l’objet de sanctions – gel des avoirs, interdiction de voyager et embargo sur les armes– conformément au paragraphe 1 de la résolution 2161 (2014) du Conseil de sécurité adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies.
Dans une déclaration présidentielle lue, cet après-midi, par la Présidente du Conseil de sécurité pour le mois d’août, Mme U. Joy Ogwu du Nigéria, les membres du Conseil exhortent toutes les parties syriennes à continuer de participer aux consultations initiées par l’Envoyé spécial du Secrétaire général, M. Stephan de Mistura. Ils prient M. Ban Ki-moon de leur rendre compte dans un délai de 90 jours des résultats de la prochaine phase de consultations.