Le Secrétaire général, M. António Guterres, a appelé, aujourd’hui, lors d’une conférence de presse donnée en présentielle au Siège de l’ONU à New York, à saisir la chance d’une « remise à zéro » qu’offre la reprise après la COVID-19 pour répondre aux fragilités mondiales, renforcer la gouvernance mondiale et fournir des biens publics mondiaux.
En cours au Siège de l'ONU
Secrétaire général: Conférences de presse
« La pandémie du COVID-19 est une crise qui ne ressemble à aucune autre et par conséquent, cette session de l’Assemblée générale ne ressemblera à aucune autre », a déclaré cet après-midi le Secrétaire général de l’ONU lors d’une conférence de presse, au cours de laquelle il a rendu public un rapport sur ce qu’a fait l’Organisation depuis le début de la pandémie de COVID-19 et sur ce qu’il reste à accomplir pour y mettre fin.
« Nous n’avons plus de temps à perdre! » À l’occasion d’une conférence de presse conjointe avec le Secrétaire de l’Organisation météorologique mondiale (OMM) au siège de l’ONU à New York, le Secrétaire général a rappelé, aujourd’hui, l’urgence de l’action climatique, alors que 2019 a été la deuxième année la plus chaude jamais enregistrée et que l’on s’éloigne dangereusement des objectifs minima de l’Accord de Paris
En cette année 2020 qui marque le soixante-quinzième anniversaire des Nations Unies, le Secrétaire général s’est engagé, ce matin, lors d’une conférence de presse au Siège de l’ONU à New York, à tout faire pour briser le « cercle vicieux des souffrances et des conflits » et à promouvoir une « diplomatie de paix », afin d’arrêter le « vent de folie » actuel.
Dans un contexte mondial rendu plus incertain encore par l’exacerbation des tensions dans la région du Golfe, le Secrétaire général de l’ONU a souhaité, aujourd’hui, que la semaine de haut niveau, qui marquera à partir de lundi l’ouverture de la soixante-quatorzième session de l’Assemblée générale, soit l’occasion de faire progresser la diplomatie pour la paix et de promouvoir le dialogue.
Aujourd’hui, à sa première conférence de l’année 2019, le Secrétaire général de l’ONU a plaidé vigoureusement pour un « multilatéralisme juste » face aux défis mondiaux, un message qu’il entend réitérer au Forum économique de Davos, la semaine prochaine. « Les mots ne suffisent pas », a-t-il martelé, se disant prêt à « agir de manière efficace » pour arracher les racines de la peur, de la méfiance, de l’anxiété et de la colère.
Avant d’annoncer les trois réunions qu’il entend convoquer dès l’ouverture du débat de haut niveau de la soixante-treizième session de l’Assemblée générale, le 25 septembre, le Secrétaire général de l’ONU a appelé, aujourd’hui, à la pleine mise en œuvre de l’accord signé entre la Fédération de Russie et la Turquie sur la création d’une zone tampon démilitarisée dans la région d’Edleb, en Syrie, qui pourrait sauver de la catastrophe trois millions de civils, dont un million d’enfants.
Plaidoyer en faveur des migrants, guerre ouverte au harcèlement sexuel au sein de l’Organisation et initiative pour la coopération numérique: tels ont été les principaux thèmes développés, aujourd’hui, par le Secrétaire général de l’ONU, lors de sa première conférence de presse à New York depuis le 16 janvier dernier.
Le Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, a plaidé cet après-midi, lors d’une conférence de presse au Siège de l’ONU, pour une « action audacieuse » en 2018 afin de corriger la trajectoire pour « les domaines dans lesquels la communauté internationale a clairement manqué à ses devoirs », en vue de faire basculer « le destin du monde ».
Le Secrétaire général de l’ONU a profité de la Journée mondiale des réfugiés aujourd’hui pour lancer cinq appels importants. Au cours de la conférence de presse qu’il a donnée au Siège des Nations Unies, à New York, M. António Guterres n’a pas échappé à des questions sur la politique internationale dont les relations de l’ONU avec l’Administration américaine.