Le 30 mai 2013, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 751 (1992) et 1907 (2009) sur la Somalie et l’Érythrée a adopté une version révisée des Directives régissant la conduite de ses travaux.
Le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1572 (2004) concernant la Côte d’Ivoire a adopté le 24 mai 2013 une version révisée des Directives régissant la conduite de ses travaux.
Il a également décidé, comme l’ont demandé les participants au Mécanisme conjoint de vérification et de surveillance de la frontière, et sur recommandation du Secrétaire général, de porter à 5 326 hommes le plafond des effectifs autorisés de la FISNUA, pour lui donner les moyens d’apporter au Mécanisme tout l’appui dont il a besoin.
Le Conseil, dans une déclaration présidentielle, préparée par le Royaume-Uni, a également exhorté le Bureau régional des Nations Unies pour l’Afrique centrale (BRENUAC), ainsi que les missions politiques et de maintien de la paix des Nations Unies présentes dans la région et les autres entités compétentes de l’Organisation, à « redoubler d’efforts pour faciliter la mise en œuvre de la Stratégie », la communauté internationale étant invitée à « apporter toute l’assistance possible ».
Les membres du Conseil de sécurité ont condamné avec la plus grande fermeté l’attentat terroriste perpétré le 24 mai contre un complexe abritant des bureaux d’un organisme du système des Nations Unies, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), attentat qui a fait un certain nombre de morts ainsi que des blessés, notamment parmi les membres du personnel de l’OIM et de l’Organisation internationale du Travail (OIT).
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite aujourd’hui par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de mai, M. Kodjo Menan (Togo):
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite aujourd’hui par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de mai, M. Kodjo Menan (Togo):
Le Conseil de sécurité, par la résolution 2103 (2013), adoptée à l’unanimité, a, sur la recommandation du Secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, dans son rapport* sur l’évolution de la situation en Guinée-Bissau, réajusté le mandat du BINUGBIS afin qu’il puisse « accompagner la concertation politique sans exclusive et la réconciliation nationale pour favoriser le retour à l’ordre constitutionnel ».
Les risques qui pèsent sur la stabilité au Moyen-Orient augmentent et les semaines à venir seront déterminantes sur deux fronts diplomatiques, à savoir la recherche d’une solution au conflit syrien et la reprise des pourparlers israélo-palestiniens, a estimé, ce matin, devant le Conseil de sécurité, le Coordonnateur spécial des Nations Unies pour le processus de paix au Moyen-Orient, M. Robert Serry.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite aujourd’hui par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de mai, M. Kodjo Menan (Togo):